Ils ont confiné, interdit de soigner, ruiné, imposé des passes sanitaires sous chantage… Et ils s’en sortent avec un non-lieu. Même pas une tape sur les doigts, juste un « circulez, y’a plus rien à voir ».
Ah, quelle époque formidable ! Après des mois de mascarade sanitaire, d’arbitraire gouvernemental et de répression bienveillante « pour notre bien », la justice française vient d’offrir un joli paquet cadeau à trois figures de la crise covidienne : Édouard Philippe, Agnès Buzyn et Olivier Véran. Verdict ? Non-lieu. Nada. Zéro responsabilité.
La République des irresponsables
Souvenez-vous :
- Des confinements absurdes avec autorisations de sortie pour acheter une baguette mais pas pour marcher seul sur une plage.
- Des interdictions de soigner, quand les médecins furent réduits au silence pendant que l’on vantait les mérites du Doliprane comme arme ultime contre un virus.
- Des écoles fermées, des enfants masqués, isolés, traumatisés… mais sans danger, paraît-il.
- Des milliers d’indépendants ruinés, suicides à la clef, pendant qu’Amazon faisait son meilleur chiffre d’affaires.
- Et bien sûr, le pass sanitaire : cette trouvaille digne de la Chine numérique, imposée sous chantage vaccinal, sans débat, sans alternative, avec la bénédiction d’un gouvernement devenu plus coercitif que protecteur.
Mais tout cela, selon la Cour de Justice de la République, n’aura été qu’une suite de « décisions politiques difficiles en temps de crise ». Traduction : vous avez souffert ? Tant pis pour vous. Les responsables ? Ils repartent libres, certains même avec une promo.
Véran, l’émotion sélective
Olivier Véran, toujours prompt à jouer du violon sur BFM, a déclaré qu’il n’éprouvait « ni joie ni soulagement », car ce non-lieu « n’efface pas les menaces, les insultes, ni les coups bas ». (source : BFMTV)
Étrange. Car les soignants suspendus, eux, n’ont jamais été réintégrés dignement, ni indemnisés. Certains vivent encore avec l’étiquette de « dangereux complotistes » pour avoir refusé de se faire injecter à la chaîne un produit dont les effets secondaires ont été soigneusement enterrés sous le tapis de la transparence sanitaire.
Mais le pauvre Véran, lui, a dû faire face à des hashtags méchants. C’est sûr, c’est presque équivalent.
Dupont-Aignan résume la claque collective
Dans un sursaut de lucidité politique, Nicolas Dupont-Aignan a dit tout haut ce que des millions pensent tout bas :
« C’est une trahison démocratique. Une gifle pour tous ceux qui ont souffert des dérives d’un pouvoir devenu autoritaire. »
NON-LIEU pour Édouard Philippe, Agnès Buzyn et Olivier Véran.
— N. Dupont-Aignan (@dupontaignan) July 7, 2025
Confinements abusifs, interdiction de soigner, fermetures d’écoles, ruine de milliers d’indépendants, pass sanitaire imposé sous la contrainte… Et aujourd’hui, aucun responsable, aucune sanction.
La justice les… pic.twitter.com/WGYaTNk35I
Et cette gifle, la justice vient de nous la resservir avec le sourire. Enrobée de jargon juridique et de bonne conscience institutionnelle.
Et maintenant ?
Rien. Silence radio. Pas de commission, pas de sanction, pas même un petit mea culpa. Ceux qui ont mené la France dans une spirale de contrôle, d’absurdité et d’exclusion sont désormais lavés de tout soupçon.
Les familles endeuillées, les enfants abîmés, les citoyens discriminés, eux, peuvent ranger leur souffrance au placard, avec leur QR code périmé et leur foi en la démocratie.
La gestion du Covid n’était pas une erreur. C’était une stratégie. Et comme souvent, ce sont les stratèges, pas les victimes, qui s’en sortent avec les honneurs.