La Belgique en mode panique douce : bientôt l’état de crise pour acheter des armes « à la Poutine » ?

« C’est soit la guerre, soit la paix. » Ah, merci Général Vansina, on n’y avait pas pensé. (source : RTL.be) Heureusement que la Défense belge éclaire nos lanternes géopolitiques embuées. Face à une « menace qui s’accroît » (traduction : on flippe mais on ne sait pas trop de quoi), le chef de la Défense exhorte le gouvernement à décréter officiellement la « situation de crise ». Objectif ? Pouvoir acheter des joujoux de guerre à la vitesse grand V, sans que les lourdeurs administratives viennent gâcher la fête.

Crise sur commande : le nouveau Black Friday militaire

Depuis son bureau suréquipé, Frederik Vansina nous alerte :

« Nous sommes coincés entre guerre et paix. Un no man’s land stratégique où l’ennemi (Poutine, pour ne pas le nommer) usine des chars comme des petits pains, pendant que nous, pauvres Européens, nous négocions encore le prix des boulons. »

La Belgique, qui ne dispose même pas d’un système officiel pour jauger l’état de sécurité générale (on se demande comment le pays a survécu jusqu’ici), pourrait donc franchir un cap :
créer un statut « crise sur mesure », histoire d’ouvrir grand les vannes des budgets Défense et de zapper les appels d’offres trop lents.
Traduction : on veut faire du shopping militaire version fast-track.

Ports, data et canons : tout doit passer en mode « urgent »

Au menu du chef :

  • Sécurisation des ports (quand même, ça la fout mal de laisser traîner des containers louches à Anvers).
  • Protection des réseaux numériques (parce que les hackers russes n’attendent pas la fin du marché public pour pirater).
  • Et surtout : achat express de tanks, avions et canons.

« Nous continuons à acheter au rythme des années 90, alors que Poutine carbure à l’usine 24/7 », déplore Vansina.

On visualise bien le brainstorming à l’État-major :
« Si on appelait ça Défense Prime Express ? Livraison sous 48h, satisfait ou remboursé. »

Une crise à géométrie variable ?

Le plus piquant ? Cette soudaine envie de crier « crise » pourrait bien arranger plus d’un ministre. Avec le statut spécial :

  • Pas besoin de justifier les dépenses.
  • Pas besoin d’attendre le feu vert du Parlement.
  • Et surtout : personne ne viendra demander pourquoi, en pleine crise sociale, on claque des millions dans des Rafales alors que le tram 4 a encore déraillé hier.

👉 À méditer :
Quand un gouvernement crée sa propre échelle de crise, c’est rarement pour faire des économies…
Mais rassurez-vous, citoyens belges, grâce à l’état de crise, vous dormirez tranquilles sous le bruit apaisant des nouveaux canons dernière génération.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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