Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

La cinquième semaine de congés payés bientôt supprimée ? Le repos, c’est pour les riches ou pour les morts !

Ah… la cinquième semaine de congés payés. Ce doux mirage d’équilibre entre burn-out et survie émotionnelle. Ce Graal du salarié rincé qu’on nous avait accordé dans un moment d’égarement social. Eh bien, chers amis, préparez-vous à lui dire adieu. Car en 2025, pendant que certains nous vendent la « valeur travail », d’autres s’activent discrètement à sabrer ce vestige d’un monde où l’on croyait encore que la vie ne se résumait pas à « métro-boulot-prix qui flambent ».

Travailler plus pour gagner quoi, déjà ?

Officiellement, rien n’est décidé. Officieusement ? Des fuites dans la presse économique, des confidences en off, des petits arrangements entre technocrates du MEDEF et ministres survoltés à l’idée d’économiser trois francs six sous sur le dos des actifs. La cinquième semaine de congés payés serait, paraît-il, un « frein à la productivité ». Et il faut bien « récompenser le travail » en supprimant le droit au repos. Logique imparable version 2025.

Vous avez aimé la réforme des retraites ? Vous allez adorer la réforme des vacances. À ce rythme, la prochaine étape, c’est quoi ? Une prime pour ceux qui ne prennent jamais de congés, un badge « bon petit soldat » pour les salariés qui meurent au bureau avant 60 ans ?

“La France doit redevenir compétitive”

Ah, le mot magique : compétitivité. Ce talisman qu’on agite dès qu’il s’agit de dépouiller les droits sociaux. Alors que les multinationales bénéficient de crédits d’impôt astronomiques, on vient expliquer aux Français qu’ils coûtent trop cher… en se reposant cinq semaines par an. Spoiler : ils ne coûtent pas trop cher. Ils en ont juste marre de bosser pour que Total, LVMH et Amazon battent des records de profits pendant qu’eux choisissent entre remplir le frigo ou le réservoir.

Une mesure de plus sous le tapis de l’été ?

Le gouvernement n’a pas (encore) osé l’annoncer en grande pompe. Trop risqué. Trop visible. Alors, on teste l’idée, on observe la réaction. Le tout pendant que les Français partent (encore) en vacances. Pour certains, la cinquième semaine, c’est LE moment où les mômes ne sont pas à la garderie municipale surpeuplée, où on peut respirer entre deux arrêts maladie. Mais bon, dans le logiciel actuel, ça n’a pas de valeur économique, donc ça dégage.

Et pendant ce temps-là, les députés prennent deux mois de pause…

Oui, parce que pendant qu’on vous explique que cinq semaines, c’est trop, nos chers élus s’apprêtent à siroter leur rosé d’été bien mérité, avec pause parlementaire, indemnités pleines et chauffeurs à disposition. Et personne ne viendra leur dire que c’est un “frein à la relance”.

Dormez peu, travaillez plus, consommez crevés

Le message est clair : en 2025, on bosse plus longtemps, avec moins de pauses, pour maintenir à flot un système qui récompense ceux d’en haut et presse ceux d’en bas. Bientôt, la pause pipi sera elle aussi comptée en RTT. Et si vous avez encore envie de râler, vous savez ce qu’on vous dira ? “C’est la crise”. Celle qu’ils ont créée. Et qu’ils vous font payer.

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