Éducation sexuelle à l’école : entre sauvetage des innocents et naufrage idéologique… nos petites têtes blondes en première ligne

Autrefois, parler de sexualité à l’école se résumait à un schéma maladroit dessiné à la craie : « Voici une graine, voici une fleur. »
Aujourd’hui ?
C’est Netflix, TikTok et militantisme woke en salle de classe. Avec, entre deux tableaux blancs interactifs, des révélations traumatiques… ou des dérives qui font frémir même les plus progressistes.

Oui, ça sauve des vies. Personne ne dit le contraire.

Selon des profs héroïques (et un brin débordés), ces cours permettent à des enfants de briser le silence sur l’indicible :
👧 « Mon oncle me touche. »
👦 « Mon frère me fait ce qu’il y a sur les vidéos d’adultes. »
Des mots glaçants. Des confessions qui, sans ces cours de sexualité, seraient restées enfermées dans des chambres d’enfant et des silences familiaux. (source : 20 Minutes)

Et il faut le dire : chaque parole libérée, chaque inceste dénoncé, c’est une victoire.
Bravo à ces enseignants et intervenants qui, sans formation suffisante et sans soutien psychologique, encaissent le poids de ces secrets pour sauver des gamins. Des héros malgré eux.

Mais (parce qu’il y a toujours un « mais ») : qui surveille les dérives ?

C’est là que le ver est dans la pomme.
Les cours de sexualité peuvent être un phare… ou un naufrage.

🔎 SOS Éducation, entre autres, alerte sur les dérives pédagogiques des interventions :

  • On remplace l’apprentissage du respect par des ateliers douteux (« consentement ludique » sur peluches, si si).
  • On introduit des concepts militants inadaptés pour des enfants de 8 ans.
  • On banalise des pratiques qui, autrefois, auraient valu à un adulte un petit tour chez le juge.

Et que dire de ces séances où le prof lui-même, mal formé, balance des quiz du style :

« Peut-on envoyer un nude librement ? »
« Est-ce qu’une main aux fesses est une agression sexuelle ? »
(Question : à quel moment l’apprentissage bascule-t-il de prévention à sexualisation précoce ?)

Les enseignants ? Livrés à eux-mêmes.

Pas formés. Pas soutenus. Pas protégés.
Face aux confidences, beaucoup improvisent :

  • Signalement ou pas signalement ?
  • Prévenir les parents ou pas (sachant que le parent est parfois… l’agresseur) ?
  • Et après ? On ne sait jamais trop si la justice suit.

Résultat :
🎭 « On veut sauver des vies » ➜ mais on navigue à vue, entre traumatismes d’élèves… et traumatismes de profs.

Entre idéal et réalité : le grand écart

L’idée de base ? Excellente... si on l’entend comme ça
Offrir aux enfants un espace pour comprendre leur corps, apprendre à dire non, reconnaître les abus…

La réalité ? Parfois effrayante.
Quand l’école devient le théâtre :

  • De luttes idéologiques.
  • D’ateliers expérimentaux.
  • D’intervenants plus militants qu’éducatifs.

Bref, entre sauver et briser, la frontière est mince. Très mince.

Conclusion mordante (comme d’habitude)

L’éducation sexuelle à l’école peut être :
✅ Un bouclier pour protéger nos enfants… peut-être
❌ Ou un cheval de Troie pour des agendas politiques ou sociaux mal assumés.

Former, encadrer et surveiller, voilà le vrai défi.
Sinon ? On continuera à jouer à la roulette russe avec l’innocence de nos gamins.

Petit bonus pour la fin :
Chers parents, pendant que l’Éducation nationale débat de « consentement ludique » et de « fluidité de genre en maternelle », vérifiez qui intervient vraiment dans la classe de votre enfant. Parce que derrière les grands principes, il y a parfois de petites horreurs.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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3 commentaires sur « Éducation sexuelle à l’école : entre sauvetage des innocents et naufrage idéologique… nos petites têtes blondes en première ligne »

  1. Madame râleuse, il me semble que dans cet article vous êtes, un peu, à côté de la plaque ! je vous suggère de vous intéresser au programme de l’ONU pour ce qui concerne l’éducation sexuelle des enfants. l’enfer n’est pas que pavé par de bonnes intentions, il peut l’être par de très mauvaises ! Et en l’occurrence c’est le cas !
    Prenez la peine de consulter « stopworldcontrol.com » qui a fait un document qui décrypte ce que l’on veut « enseigner » à nos gosses  » pour leur bien » bien évidemment. ET ce n’est pas de la roulette russe, c’est bien de la pornographie que l’on veut donner en pâture à nos têtes blondes et à des âges défiant l’entendement. Intéressez-vous aussi au document émis au Pays-bas qui explique comment violer les bébés ! On ne peut donc pas cataloguer tout cela comme des « dérives  » mais comme la marche forcée généralisée pour démolir psychologiquement nos descendants.

    1. Bonjour,

      Merci pour votre commentaire. Je crois qu’il y a eu un malentendu sur le fond de mon article.

      Je ne défends en aucun cas les dérives actuelles de l’éducation sexuelle scolaire — au contraire, je les dénonce explicitement. Je souligne que si certains cours ont permis à des enfants de parler de violences subies (et c’est une réalité que même des associations indépendantes confirment), les dérives sont nombreuses et inquiétantes. Je cite d’ailleurs SOS Éducation et j’alerte sur les contenus idéologiques et sexualisants inadaptés à des enfants.

      Si vous relisez bien, je précise même que derrière les grands principes affichés, il peut y avoir de véritables horreurs. Je partage donc totalement votre inquiétude sur certains programmes et contenus, notamment ceux inspirés d’agendas internationaux qui dépassent largement le cadre éducatif sain.

      Je vous remercie pour vos sources supplémentaires. Elles confirmeront à mes lecteurs (et à ceux qui me reprochent parfois d’être trop modérée !) que ces dérives ne sont pas des exceptions, mais un risque systémique.

  2. Le grand problème c’est que l’éducation est à la base la responsabilité de la famille, parents en tête et non pas celle de l’état.
    Il faudrait retourner à l’enseignement national.
    Quand l’état éduque, il endoctrine !

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