L’eau : bien commun ou marchandise ? Le grand test de l’humanité

Quand Mariana Mazzucato a pris la parole au dernier Forum économique, son message semblait limpideQuand Mariana Mazzucato a pris la parole au dernier Forum économique, elle a ressorti la vieille rengaine :

« L’eau est un bien commun mondial. »

Un refrain qui rappelle celui qu’on nous a servi pendant le COVID :
« Nous sommes tous aussi sains que nos voisins ».
Traduction : pas de solidarité sans obéissance collective.

La vaccination ? Présentée d’abord comme un droit… avant de devenir une obligation pour beaucoup, sous peine d’exclusion sociale.
Le pass sanitaire ? Un « geste solidaire » transformé en laisser-passer politique.

Et l’eau ? Le même scénario se profile :
➡ D’abord un discours sur le bien commun
➡ Puis, des restrictions et des obligations
➡ Enfin, une privatisation discrète pour « optimiser la gestion ».

Quand le « bien commun » devient le prétexte au contrôle

Peter Brabeck-Letmathe, nouveau président du Forum économique et ex-patron de Nestlé, ne s’en cache même plus :

« L’eau ne devrait pas être considérée comme un droit. C’est un produit, avec une valeur marchande. »

Traduction : après la liberté conditionnelle, voici venir l’eau conditionnelle.
Vous boirez… selon vos moyens et selon les règles fixées par ceux qui « protègent le bien commun ».

Du COVID à l’eau : même méthode, même finalité

Le parallèle est frappant :
✔ Une crise réelle (sanitaire ou hydrique)
✔ Des solutions imposées au nom de la solidarité
✔ La stigmatisation de ceux qui questionnent ces solutions
✔ Et au final… le marché qui rafle la mise.

L’eau, nouveau levier de docilité sociale ?

Mazzucato appelle à « expérimenter la notion de bien commun » pour l’eau.
Mais l’expérience, nous la connaissons déjà :
– Pas de pass ? Pas de liberté.
– Demain : pas de « quota responsable » ? Pas d’accès à l’eau.

L’écologie punitive rejoint la santé punitive.
Tout devient un test de docilité citoyenne sous couvert de sauver la planète ou le voisin.

Peut-on encore y croire ?

La question n’est plus de « gérer ensemble » mais de résister ensemble.
Face à une minorité qui transforme chaque crise en opportunité de contrôle et de profit.

Après tout, l’eau appartient à tout le monde… jusqu’à ce qu’un PDG ou un gouvernement décide du contraire.


« L’eau appartient à tout le monde… jusqu’à ce qu’un PDG vous prouve le contraire. »

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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