Faut-il vraiment demander aux retraités de passer à la caisse ? Une question pour le prochain Politicothon

Ah, les retraités ! Ces héros du quotidien, ceux qui ont trimé toute leur vie pour finalement jouir d’un abattement fiscal sur leurs pensions. Mais voilà que Gilbert Cette, président du Conseil d’orientation des retraites (COR), vient jouer les trouble-fêtes. Son idée lumineuse : supprimer cet abattement de 10 %, histoire de récupérer 4 milliards d’euros par an. (source : Le Point) Rien que ça ! Sur Madame-Raleuse.com, on décrypte avec humour et sarcasme cette politicothon « géniale » de supprimer cet abattement !

Une idée pleine de promesses… pour le fisc

Selon M. Cette, cette mesure serait « équitable ». Traduction : seuls les retraités avec des pensions dodues passeraient à la casserole. Les plus modestes, eux, continueraient de survivre avec leur pension à peine suffisante pour acheter un paquet de pâtes et un yaourt. Ouf, merci pour cette générosité !

Mais ce qui est fascinant, c’est la logique implacable derrière cette proposition. Les retraités, ces soi-disant derniers « intouchables », sont apparemment responsables du déficit abyssal de notre système. Après tout, pourquoi ne pas les pénaliser encore un peu plus ? Ils ne travaillent plus, ils consomment moins, et ils osent vivre plus longtemps. Quel culot !

Retraité = nouvelle vache à lait ?

Revenons un instant sur l’idée géniale de supprimer l’indexation des pensions sur l’inflation. Merci Michel Barnier, ce grand stratège. Lui aussi avait flairé le bon filon : demander aux retraités d’attendre six mois de plus pour voir leurs maigres pensions augmenter. Résultat ? Un tollé général, une motion de censure, et Barnier à la porte. Mais visiblement, cela n’a pas suffi pour vacciner nos élites contre les idées foireuses.

Le raisonnement est simple : quand on ne sait pas où trouver de l’argent, on tape sur ceux qui ne peuvent plus descendre dans la rue. Bah oui, les retraités préfèrent leurs cannes et leurs fauteuils roulants à une virée au cortège. Pratique pour le gouvernement, non ?

4 milliards, vraiment ?

Mais soyons honnêtes : si l’on gratte un peu, les 4 milliards annoncés par Gilbert Cette pour « sauver le système » ne sont qu’une goutte d’eau dans l’océan du déficit public. Et puis, après les retraités, ce sera au tour de qui ? Les bébés, peut-être ? Une taxe sur le nombre de couches utilisées ? Ne riez pas, tout est possible avec un peu d’imagination.

Une solution vraiment « équitable »

Alors, plutôt que de taper sur les retraités, pourquoi ne pas demander aux géants du numérique de payer leurs impôts ? Ou encore mettre fin à certains avantages indécents pour nos chers élus ? Ah, pardon, j’oubliais : eux, ce sont les vrais intouchables.

Bref, cette proposition est à ranger dans la longue liste des « idées brillantes » qui finissent à la poubelle. Mais si un jour elle voit le jour, préparez-vous à voir des retraités organiser des sit-ins à la maison de retraite. Et qui sait, peut-être qu’un jour, l’État leur facturera aussi leur place en Ehpad avec une taxe « survie prolongée ».

Allez, hauts les cœurs, chers retraités ! Vous êtes peut-être l’avenir du financement public, mais au moins, vous êtes toujours là pour nous faire rire… jaunes.

Citation de Madame-Raleuse.com

Les retraités : nouvelle cible du gouvernement pour combler un déficit sans fin !

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Faut-il sacrifier les retraités pour sauver les finances publiques ? Donnez votre avis, la parole est à vous !

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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