20 mai 2025 – une date historique, qu’ils disent. L’Organisation mondiale de la santé a adopté son fameux traité pandémique, ce petit bijou bureaucratique conçu pour « protéger l’humanité » (source : Le Monde)… à condition qu’elle ferme bien sa gueule et tende le bras.
Sauf que – attention, subtilité technocratique oblige – le traité est adopté, mais pas encore signé. Oui, dans cette nouvelle démocratie façon UERSS, on peut très bien vous imposer une règle avant même que vous ayez le droit de dire si vous êtes d’accord.
Traité signé… sur le coin de la table (mais chut, c’est pour votre bien)
Alors non, chers complotistes en pantoufles, aucun chef d’État ne s’est officiellement levé pour apposer sa signature au bas d’un parchemin en peau de pangolin. Ce qui a été voté à Genève, c’est l’adoption du texte cadre du traité – sans l’annexe la plus cruciale : le système de partage des agents pathogènes et des avantages (PABS). (source : El Pais)
Mais rassurez-vous : Christine Lagarde vous l’expliquerait très bien si elle était à l’OMS. L’important, ce n’est pas ce que vous signez, c’est ce qu’on vous fait avaler avec le sourire.
L’éducation forcée avant l’obéissance programmée
Christine Lagarde l’a dit : « Il faut éduquer avant d’imposer. » Traduction : on vous gave de comm’ rassurante, on vous traite de désinformé si vous posez une question, et ensuite on passe la loi pendant que vous regardez Roland-Garros.
Le traité sera signable une fois l’annexe finalisée (en 2026), (source :mais les États devront déjà s’aligner moralement sur son contenu. Comprendre : si t’es contre, t’es un danger public. Bref, bienvenue dans la démocratie pédagogique : tu votes après, mais on te dit quoi penser avant.
Un traité pour « préparer les futures pandémies »… comme en 2020 ?
Rappelons-le quand même : ce traité a été écrit par des gens qui n’ont pas vu venir un virus pendant des mois, ont menti sur les masques, puis vendu des millions de doses de vaccins expérimentaux sans aucune responsabilité juridique.
Et maintenant, ils veulent nous protéger avec un traité ?
Un traité qui prévoit :
- Un accès rapide aux agents pathogènes (miam),
- Une logistique mondiale gérée par des élites sans frontières,
- Un accès « équitable » aux vaccins, surtout pour ceux qui n’en veulent pas.
Et bien sûr, la reconnaissance officielle de « One Health » : votre santé, celle du caniche de votre voisine et celle des chauves-souris de Wuhan sont désormais un tout indivisible. Vivement l’obligation vaccinale pour les chats d’appartement.
Ce qu’on vous prépare (mais chut, c’est pour votre bien)
Ce traité ne sera pleinement en vigueur qu’une fois ratifié par 60 pays, ce qui pourrait arriver dès 2027. Mais d’ici là, attendez-vous à voir fleurir :
- Des campagnes de sensibilisation sponsorisées par Pfizer,
- Des QR codes sanitaires sous prétexte de prévention,
- Des sanctions douces pour les pays (ou citoyens) un peu trop sceptiques.
Et vous pensiez en avoir fini avec les attestations ?
Spoiler : l’annexe PABS, c’est le nouveau pass sanitaire mondial. On partage les virus, on échange les vaccins, et on centralise la décision quelque part entre Genève, Davos et une réunion Zoom chez BlackRock.
Et pendant ce temps-là, en Frankistan…
En France, les médias se félicitent mollement de l’adoption du traité. Personne ne demande au peuple son avis – faut dire, il pourrait mal voter. Et pendant ce temps, l’UE peaufine l’infrastructure numérique de votre futur carnet de santé citoyen. Si tu veux t’acheter une boîte de Doliprane demain, faudra peut-être d’abord montrer patte blanche.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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