🦠Traité pandémique de l’OMS : quand les États signent une reddition sanitaire déguisée en coopération mondiale (et que certains fuient en courant)

Ils l’ont fait. Ils ont signé. (source : La Tribune) Et non, ce n’était pas une pétition pour sauver les dauphins ni un manifeste pour réhabiliter le camembert cru en cantine scolaire. Non. C’était bien pire : Le traité international sur les pandémies, concocté par les pays membres de l’OMS, qui donne à l’agence onusienne des allures de super-ministère de la Vérité sanitaire.

Cinq ans après avoir plongé la planète dans un épisode dystopico-confinatoire digne de Netflix (mais sans bouton « stop »), les mêmes États qui ont brillé par leur désorganisation olympique face au Covid viennent de signer un accord censé « améliorer la réponse mondiale » en cas de future pandémie. Tu sens venir le chef de chœur en blouse blanche et QR Code tatoué sur le front ?

Le directeur de l’OMS, Tedros Ghebreyesus alias l’homme qui avait besoin de plus de pouvoir et l’a presque eu — jubile déjà à l’idée d’annoncer que l’humanité s’est « enfin unie »… pour lui remettre les clés du bunker.

« Un moment historique », dit-il. Pour les libertés individuelles aussi, sans doute. RIP.

🧬 Le traité pandémique ou l’art de dire « c’est volontaire » avec des menottes

Oh, bien sûr, on nous rassure : chaque pays conserve « son droit souverain ». Traduction : tu es libre… de dire oui. Car même si le texte n’est « pas contraignant », il prévoit :

  • un système de partage des agents pathogènes (chouette, des virus en open-source),
  • une coordination logistique mondiale par l’OMS (genre Amazon Prime, version seringues),
  • un accès équitable aux vaccins (20 % pour l’OMS, dont la moitié en dons, soyons partageurs),
  • et des clauses de transfert technologique, si les pays producteurs acceptent de céder un peu leur brevet chéri (spoiler : non).

Mais le meilleur reste pour la fin : en cas de différend ? Arbitrage diplomatique. Traduction ? Une réunion PowerPoint où les puissants se tapent dans le dos pendant que les autres éternuent dans leurs coins.

🇺🇸 🇦🇷 Les absents ont toujours… raison ?

Et pendant ce temps, les États-Unis et l’Argentine ont dit : merci, mais non merci. Trump a claqué la porte en janvier, Milei a suivi. Trop de pouvoir centralisé, pas assez de résultats probants, et puis faut dire ce qui est : quand les labos de ton pays ont déjà sauvé la planète (à prix d’or), t’as pas trop envie de faire don des recettes.

🩺 Un traité au goût de déjà-vu (et de déjà-subi)

On nous vend ça comme une réponse aux échecs du passé. Mais n’est-ce pas les mêmes qui ont laissé la Chine planquer des infos pendant des semaines ? Les mêmes qui ont regardé Ebola ravager des zones entières sans réelle coordination ? Et qui maintenant, voudraient qu’on remette nos vies entre les mains d’un organisme dont l’impartialité fait autant débat que les œufs bio chez Lidl ?

Et quand on lit que « les dispositions sont fortes, mais seulement si les pays les appliquent« … On comprend que c’est comme un contrat de mariage sans clause de divorce : tout le monde sourit à la signature, mais personne n’assume les conséquences.

💉 Demain, tous synchronisés… ou tous soumis ?

Ce traité n’est pas encore adopté (vote prévu en mai), mais il trace une ligne dangereusement floue entre coordination sanitaire… et gouvernance mondiale pseudo-sanitaire.

Alors oui, officiellement, le directeur de l’OMS n’a pas tous les pouvoirs. Mais quand :

  • il déclare l’urgence,
  • il déclenche le réseau logistique mondial,
  • il centralise les données virologiques,
  • et il gère les répartitions de vaccins

Tu peux l’appeler comme tu veux : directeur, boss, commandeur des anneaux ou grand prêtre de la piqûre universelle, ça reste un homme qui peut orienter les décisions de tous. Et qui, surtout, ne rend de compte à aucun peuple.

🧠 Réfléchis bien avant de signer, ou de te faire signer. Parce qu’après, ce ne sera pas « volontaire » — ce sera « pour le bien commun ». Et on sait où ça mène, cette expression.

✍️ Madame-Raleuse.com — parce qu’il faut bien quelqu’un pour éternuer sur leurs certitudes.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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