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Plongez dans l’analyse cinglante de Madame-Raleuse.com sur la ‘taxe streaming’, une pépite financière gouvernementale qui secoue le paysage des plateformes de streaming. Décortiquant avec humour et sarcasme les intrications de cette nouvelle mesure fiscale, l’autrice offre une perspective acerbe sur les choix gouvernementaux et l’impact sur l’industrie musicale.

La “taxe streaming” : La nouvelle pépite financière du gouvernement

Ah, la “taxe streaming” ! Une initiative tellement brillante qu’on se demande pourquoi personne n’y avait pensé plus tôt. Le gouvernement, toujours à la pointe de l’innovation fiscale, a décidé de prélever 1,2% sur le chiffre d’affaires des mastodontes du streaming en France. C’est vrai, parce que ces plateformes avaient cruellement besoin d’un petit coup de pouce financier.

Selon les experts en calculs savants du ministère de la Culture, cette taxe révolutionnaire devrait générer la modique somme de 15 millions d’euros en 2024. Attendez-vous à voir l’économie nationale faire la danse de la joie avec une telle manne financière. On peut déjà imaginer les ministres se frottant les mains en pensant à toutes les rénovations de bureaux luxueux qu’ils pourront s’offrir.

Bien sûr, on prend soin de ne pas embêter les petites structures qui n’engrangent que des “pauvres” 19 millions d’euros de chiffre d’affaires. Elles peuvent souffler, la taxe ne les concerne pas. C’est magnifique, cette bienveillance gouvernementale envers les petits acteurs de l’industrie.

La générosité volontaire des géants du streaming : Une idée trop ringarde pour le gouvernement

Et pourquoi cette taxe, me demandez-vous ? Eh bien, elle servira à financer le Centre national de la musique, cette institution indispensable créée en 2020 pour soutenir la musique française. Parce que, vous savez, la musique, c’est tellement en crise que même les entreprises du spectacle vivant ne peuvent pas tout régler. Heureusement, le gouvernement est là pour sauver la situation avec sa baguette magique fiscale.

Bien sûr, tout le monde est ravi. Les producteurs phonographiques indépendants, les acteurs de la musique actuelle, et même le Syndicat national du spectacle musical et de variété PRODISS ont applaudi cette initiative. À part quelques oiseaux rares qui proposaient une contribution volontaire. Imaginez, Apple, Deezer, Meta, Spotify, YouTube et TikTok prêts à sortir leur porte-monnaie pour une noble cause. C’est presque touchant, non ? On se demande pourquoi le gouvernement ne les a pas laissés faire. La générosité spontanée, c’est tellement has-been.

En conclusion, la France s’apprête à accueillir 2024 avec une attitude inébranlable, prête à relever les défis de demain, et, bien sûr, avec une poignée supplémentaire de taxes pour rendre l’avenir encore plus radieux.

Citation de Madame-Raleuse.com

La ‘taxe streaming’ : quand l’innovation fiscale devient une pépite sarcasmique pour éclairer l’avenir financier de la France en 2024.

Exprimez-vous !

Quelle est votre perspective sur l’introduction de la ‘taxe streaming’ en France ? Pensez-vous que cette mesure financière est nécessaire pour soutenir la filière musicale, ou considérez-vous qu’il s’agit simplement d’une nouvelle charge pour les entreprises du secteur ? Vos opinions sont les bienvenues !

(source : TF1)

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