L’Union Européenne se couche devant les États-Unis : droits de douane supprimés, fierté incluse

Madame-Raleuse.com – Vous l’attendiez, la voilà : la grande reddition en rase campagne de l’Union Européenne. Une capitulation si rapide qu’on pourrait presque la confondre avec une offre promotionnelle : « Droits de douane offerts, dignité incluse dans le colis. »

Pendant que notre Mozart de la finance accorde ses violons à coups de dettes variables, Ursula von der Leyen, elle, joue du pipeau géopolitique à l’américaine. Oui, mes chers lecteurs, l’UE propose ni plus ni moins une exemption totale de droits de douane aux États-Unis. On aurait pu appeler ça un accord. Mais non, c’est un cadeau. Une offrande. Une génuflexion diplomatique.

La réciprocité ? Un concept européen trop compliqué ?

Dans la jolie comédie européenne, on parle de réciprocité des droits de douane. En théorie, ça veut dire « tu me taxes, je te taxe ». Mais comme toujours avec Bruxelles, la pratique ressemble à un gag kafkaïen. On taxe… mais pas les Américains. Non. Eux, ils arrivent en guest stars VIP, tapis rouge, champagne fiscal et douanes grandes ouvertes.

Et pourquoi ce petit massage commercial transatlantique ? Parce que l’on sent monter l’orage Trumpien. Le Donald n’a aucune envie de négocier avec des bureaucrates en costard qui veulent prolonger la guerre en Ukraine pendant que lui rêve de pactes de paix (et de caméras).

L’Europe : la Chine du pauvre… version molle

Pendant que Trump aiguise ses tweets comme des missiles économiques, l’UE se transforme en punching-ball stratégique. Elle danse sur un volcan économique avec autant de grâce qu’un éléphant sur un trampoline.

Et Ursula nous rassure (enfin, essaie) : “Nous sommes prêts à répondre avec des contremesures.” Oh vraiment ? Des sanctions ? Des ripostes ? Ou un regard courroucé devant l’ambassade US avec une banderole écrite en Comic Sans MS ? Parce qu’en matière de crédibilité, on frôle déjà la tectonique des ridicules.

Le prochain domino ? La dette française

Et ne croyez pas que tout cela va rester au niveau des taxes sur les oranges californiennes. Non non. La prochaine étape, c’est la dette. Et qui est en première ligne ? Nous. Cocorico. La France du Mozart de l’endettement, du crédit à taux variable, et des fanfares de Bercy qui jouent la Marseillaise pendant qu’on vend nos sous-vêtements aux enchères.

Trump, lui, il ne reculera pas. Il a décidé de désintégrer les mondialistes et leur ramassis d’idéologie technocratique. Et pendant que l’UE s’offre en solde, le bulldozer américain s’échauffe.

Restez branchés, la suite promet du popcorn

La guerre commerciale s’annonce violente, brève, et unilatérale. Comme une déclaration d’amour envoyée depuis Washington et traduite à Bruxelles par « Tiens, prends ça. »

Les Européens viennent d’offrir la première manche sur un plateau, et si vous espériez une contre-offensive, vous n’avez pas suivi la série : l’UE, c’est pas « Game of Thrones », c’est « Desperate Bureaucrats ».

——————————–

Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

——————————–

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*