À force de vouloir protéger les enfants de tout, on finit par les exposer à n’importe quoi. Bienvenue en Frankistan, ce pays formidable où l’éducation nationale se prend pour une sexologue en herbe, et où les cours d’“éveil à la sexualité” ressemblent de plus en plus à un atelier “Cam4 pour les moins de 10 ans”.
Oui, à l’école, on n’apprend plus seulement à lire, écrire et compter. On apprend aussi à “identifier ses zones de plaisir”, à “exprimer son genre”, et à ne surtout pas se heurter au concept rétrograde de “différence des sexes”. C’est dépassé tout ça. Aujourd’hui, tout le monde peut être tout, partout, tout le temps. Sauf parent. Là, c’est interdit.
De la prévention à l’endoctrinement mou
Officiellement, ces interventions scolaires ont pour but de prévenir les violences sexuelles, informer, responsabiliser. En réalité, c’est souvent du vernis progressiste sur une idéologie à peine masquée. Ce qu’on appelle “éducation à la sexualité”, c’est parfois un vrai cours de rééducation sociale : on parle “genre fluide”, “consentement entre enfants”, “masturbation bienveillante” — mais surtout, pas de papa-maman hétéro monogame, ça pourrait choquer.
Le problème ? Ce sont souvent des intervenants extérieurs (parfois militants), pas formés à l’enfance, pas encadrés, pas transparents, et qui passent sous le radar des parents. Et là, surprise : on découvre que certaines séances sont plus suggestives qu’un épisode de Sex Education. Mais chut. C’est pour leur bien.
Le rôle de l’école, ou l’OPA sur l’intimité
Là où l’affaire devient croustillante (et inquiétante), c’est que l’école s’arroge un rôle d’éducatrice intime, avec un aplomb digne d’un curé du XVIIIe siècle. Sauf qu’au lieu de prêcher la chasteté, on prêche le vagin en plastique et la multiplicité des pratiques sexuelles, le tout à des enfants qui, pour certains, ne savent pas encore attacher leurs lacets.
Et gare aux parents qui s’opposent. Ils sont immédiatement catalogués comme extrémistes, religieux, ou “complotistes anti-LGBT+”, alors qu’ils demandent juste à être informés de ce qu’on raconte à leurs mômes.
Le progrès ou le délire normatif ?
À force de vouloir “protéger” les enfants, on finit par les plonger dans un univers où la sexualité n’est plus un sujet progressif et personnel, mais un champ de bataille idéologique. Où l’on veut leur faire croire qu’avoir un genre, une orientation, une libido… à 8 ans, c’est normal. Qu’il faut se chercher, s’exprimer, se masturber librement, mais surtout ne pas trop écouter papa et maman, ces vieux boomers cisgenres binaires.
Bref, on a remplacé les tabous d’hier par des injonctions d’aujourd’hui.
Moins de pudeur, plus de normes. Moins d’écoute, plus d’ingérence.
L’école, ce laboratoire du consentement précoce
Au final, cette fameuse “éducation à la sexualité” n’a plus grand-chose à voir avec de la prévention. C’est devenu un terrain d’expérimentation idéologique, où les enfants sont les cobayes, les parents les gêneurs, et la vérité une variable d’ajustement.
Alors non, on ne laissera pas ça passer sous silence. Car le progrès n’est pas de tout autoriser. Il est parfois de protéger ce qui mérite encore un peu d’innocence. NE manquer pas l’occasion d’agir ! 👇
Rester informé, voici la brochure de 224 pages réalisée par l’association SOS éducation
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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