Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Des CRS pour nourrir les poules de Yaël Braun-Pivet… pendant qu’ils veulent piquer deux jours fériés

Ah, la France… Ce pays où l’on peut passer en deux minutes chrono d’un débat sur la sécurité nationale à une discussion sur la nourriture des gallinacés.

Un jour, on vous explique qu’il faut se méfier des poules dans votre jardin — risques sanitaires, grippe aviaire, réglementation tatillonne — et le lendemain, et le lendemain, Le Canard Enchaîné vous balance que la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, aurait demandé à des CRS… de nourrir les siennes pendant ses vacances.

Oui, vous avez bien lu : des poulets lourdement armés, payés par vos impôts, transformés en fermiers improvisés, armés non plus de leur fusil mais d’un seau de graines.

Ce que ça implique vraiment

Pour rappel, la protection rapprochée d’élus de haut rang par les CRS, c’est déjà une dépense publique colossale. Logement sécurisé, présence 24h/24, véhicules blindés… tout ça sort directement de la poche du contribuable.
Si l’histoire des poules est vraie, on franchit un cap : celui de l’utilisation de forces de sécurité nationale à des fins domestiques privées. Un CRS payé pour protéger… ou pour ramasser les œufs, c’est selon.

L’entourage de Braun-Pivet dément formellement. Mais, démenti ou pas, la protection CRS de son domicile, elle, est bien réelle. C’est donc au minimum une polémique sur l’image que donne le pouvoir de l’utilisation de l’argent public.

Pendant ce temps, on nous pique deux jours fériés

Pendant que l’info amuse les réseaux sociaux et détourne l’attention, le gouvernement avance discrètement sur un autre front : la suppression de deux jours fériés.
Prétexte officiel : “relancer la productivité”. Traduction : travailler plus, gagner pareil.
On nous vend ça comme un effort collectif pour l’économie, mais soyons sérieux : ce sont encore les mêmes qui vont trinquer — salariés, petits indépendants, tous ceux qui comptent sur ces jours pour souffler ou simplement passer du temps en famille.

La vieille technique du rideau de fumée

Rien de nouveau sous le soleil : on lance une polémique croustillante qui occupe les plateaux télé, et pendant que le public s’indigne ou rigole… hop, on passe en douce une mesure impopulaire.
Aujourd’hui, c’est le feuilleton des poules ; demain, ce sera une autre anecdote bien choisie. Mais le résultat est toujours le même : vos droits reculent, votre temps libre fond, et vos impôts continuent d’arroser le confort du sommet de la pyramide.

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