Ah, la criminalité moderne… autrefois, c’était la planque dans la cave, les codes secrets murmurés au coin d’une ruelle sombre. Aujourd’hui ? Il suffit d’un perroquet un peu trop bavard pour pulvériser un réseau de drogue entier. Bienvenue dans le Lancashire, où un trafiquant a découvert que la vraie balance… avait des plumes. (source : Les curieux du web)
Deux pour 25, deux pour 25. Pas besoin de Sherlock Holmes pour deviner que ce n’était pas une promo sur les cacahuètes. Le volatile du malfrat, visiblement plus loquace qu’un chroniqueur de plateau télé, a offert à la police la bande-annonce intégrale du business maison.
Le patron derrière les barreaux… mais pas hors du marché
L’homme purgeait déjà 15 ans. Mais bon, visiblement, Uber Stup’ livre aussi depuis l’intérieur des prisons. Téléphones portables, routeurs Wi-Fi, vidéos compromettantes… et surtout, un perroquet formé au tarifaire des produits illicites. On dirait le début d’une comédie, sauf que là, c’est un documentaire judiciaire.
La petite amie, l’enfant… et le perroquet éducateur
Chez la compagne du chef, les enquêteurs trouvent drogue, cash, et la star à plumes en pleine formation. Oui, madame apprenait au volatile à répéter les prix, devant un enfant. Niveau éducation, on repassera. On imagine déjà les réunions parents-profs : « Alors, votre fils ne sait pas ses tables de multiplication, mais il connaît parfaitement le tarif de la cocaïne. »
Chute libre pour tout le réseau
Résultat : quinze arrestations, la petite amie condamnée à 12 ans, le chef prend 19 ans et demi supplémentaires. Et le perroquet ? Mystère. Placé en liberté conditionnelle ? Reconverti en témoin protégé ? Ou adopté par la brigade des stups pour former les recrues ?
Moralité : si vous comptez vous lancer dans le grand banditisme, oubliez les balances humaines, elles coûtent trop cher. Le vrai danger, c’est peut-être celui qui piaille dans sa cage… et qui ne sait pas se taire.