Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Emmanuel Macron, interviews sans drapeau français : bienvenue dans l’Europe façon IVème Reich en kit

On connaissait l’art de la mise en scène politique, mais Emmanuel Macron vient d’inventer un nouveau concept : l’interview sans France.
Imaginez le décor : pas de bleu-blanc-rouge à l’horizon, remplacé par l’éternel drapeau européen (celui avec ses petites étoiles façon pyjama pour technocrates) et, comble du chic, un drapeau allemand pour faire bonne mesure. Pendant ce temps, le tricolore reste planqué au vestiaire. Comme si la République elle-même avait été priée de rester hors champ, histoire de ne pas gâcher le cadre cosmopolite.

Le drapeau français ? Invisible, comme les promesses de campagne

Traditionnellement, le protocole veut que le président parle avec le drapeau français derrière lui. Mais là, pouf, disparition magique. Un peu comme la croissance française ou la confiance populaire : on sait qu’elles existent dans les livres d’histoire, mais à la télé, elles se font très discrètes.
Macron semble désormais président d’une République européenne de substitution, où l’identité nationale est optionnelle, à l’instar du beurre dans les croissants d’aéroport.

De la mise en scène à la mise au pas

Car pendant qu’on retire le tricolore, on glisse autre chose dans le discours : la censure généralisée. Enrobée dans des mots doux comme “lutte contre la désinformation”, cette petite sucrerie démocratique cache mal son goût amer. Comprenez : si vous publiez un contenu qui ne plaît pas au Palais, on pourra gentiment le supprimer au nom du Bien Commun™.

En somme, pas de drapeau, pas de voix. On appelle ça la double peine : disparition symbolique de la France, disparition pratique de la liberté d’expression.

IVème Reich : la blague devient une ambiance

Alors oui, certains crient à l’exagération quand on évoque le IVème Reich. Mais quand les interviews présidentielles se font sous bannières allemandes et européennes, pendant qu’on prépare un muselage légal des citoyens, avouez que le parallèle a un petit goût de déjà-vu.

On ne dit pas qu’Olaf Scholz et Ursula von der Leyen complotent dans l’ombre avec un livret militaire, mais la scénographie envoie un message clair : la France doit se taire, sourire, et obéir.

Conclusion : à quand la croix gamm… pardon, la croix étoilée ?

Le drapeau tricolore a disparu des écrans, remplacé par les symboles d’un supra-État en chantier. Et dans le même temps, le discours présidentiel appelle à museler les citoyens récalcitrants.
Si ce n’est pas le début d’un IVème Reich version Bruxelles-Berlin, ça y ressemble furieusement. Mais rassurez-vous : on vous expliquera demain au JT que c’est pour votre bien.

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