Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Fête de l’Humanité : on nous explique comment « tricher » pour imposer l’idéologie LGBTQIA+ à l’école

Bienvenue en France, où la neutralité de l’enseignement est censée être sacrée… mais où certains militants expliquent tranquillement comment la contourner. 🎪
À la Fête de l’Humanité, on a donc assisté à un atelier pratique : « Astuces pour imposer vos identités en douce auprès des élèves ».

La scène

Une future prof demande :
« J’aimerais parler de ma bisexualité à mes élèves, mais on me répète que le prof doit rester neutre… Des conseils pour le faire quand même ? »

Réponse de la présidente de SOS Homophobie (elle-même prof) :
« On n’a pas le droit d’en parler officiellement… mais on triche. »
Et de donner son exemple : jamais dit qu’elle était lesbienne, mais ses élèves pouvaient le deviner grâce à… ses lacets arc-en-ciel. 🌈

Traduction : pas besoin de parler, il suffit d’« imposer par signes ». Et voilà comment la neutralité, censée protéger l’école de l’idéologie, devient une passoire géante.

Madame-Raleuse décortique

  • Neutralité politique et religieuse : un principe qui ne sert plus qu’à décorer les chartes de l’Éducation nationale.
  • On brandit « l’école républicaine », mais on applaudit quand certains expliquent comment contourner la loi en toute décontraction.
  • Parler d’orthographe, de grammaire, de sciences ? Trop mainstream. L’important, c’est de savoir que Mme Machin est bi et que ses chaussures arc-en-ciel sont le vrai programme scolaire.

Le problème derrière la mascarade

Quand des enseignants revendiquent de « tricher » avec leurs élèves pour imposer une identité, ce n’est plus de la pédagogie, c’est du militantisme.
Et pendant ce temps, on s’étonne que le niveau s’effondre, que les classes soient des champs de bataille idéologique, et que les parents décrochent de l’école.

Bref : en France, on n’apprend plus à compter ni à écrire correctement… mais on saura reconnaître la couleur des lacets de son professeur. Vive la République, vive l’arc-en-ciel obligatoire.

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