Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Vaccins Covid : l’Union européenne avoue enfin qu’elle a autorisé des injections sans données complètes de sécurité

On croyait avoir tout vu dans la saga Covid : les masques introuvables, les confinements absurdes, les passes sanitaires dignes d’un film dystopique… Mais non, Bruxelles avait gardé un petit dessert pour la fin : l’UE reconnaît avoir donné son feu vert aux vaccins sans disposer de toutes les données nécessaires. (source : Berliner Zeitung) Oui, vous avez bien lu : les piqûres étaient prêtes avant les preuves.

Quand la précipitation remplace la science

Souvenez-vous du refrain : « La science guide nos décisions ». En réalité, c’était plutôt « Big Pharma dicte nos urgences ». Les contrats étaient signés à la vitesse de l’éclair, parfois à coups de SMS d’Ursula von der Leyen (qu’on cherche encore, bien sûr). Les données de sécurité ? Un détail. La Commission vient d’admettre que l’autorisation avait été accordée sans le paquet complet d’informations exigées habituellement.

Autrement dit : on a servi le plat avant de vérifier la recette.

Transparence ? Parlons plutôt d’opacité programmée

Il faut dire que la Commission a toujours excellé dans l’art de la pirouette : des contrats caviardés comme un gribouillage d’enfant, des réponses floues au Parlement, et une Ursula soudainement muette quand on lui demande des comptes. Et aujourd’hui, on découvre que même la base – les données de sécurité – était bancale.

Mais, promis juré, c’était pour « protéger les Européens ». On imagine mal comment un manque d’information protège qui que ce soit… à part les laboratoires pharmaceutiques.

Le consentement éclairé… à l’ombre de Bruxelles

Comment faire confiance à un système qui prétend nous éclairer tout en éteignant les lampes ? On parle de décisions qui ont concerné des centaines de millions de citoyens, transformés en cobayes sous contrat secret.

Le vrai slogan aurait dû être : « Vaccinez d’abord, questionnez plus tard ».

Une conclusion qui pique autant que l’aiguille

L’UE aime se présenter comme la garante de la rigueur scientifique et de la transparence démocratique. Mais cet aveu montre surtout qu’elle est devenue le service commercial le plus cher de Big Pharma. Et pendant ce temps, les citoyens découvrent, petit à petit, que leur confiance a été bradée comme une promo au supermarché.

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