Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Procès de Juan Branco : quand un avocat dit tout haut ce que la France ne veut plus entendre

Ah, la France ! Ce pays qui s’enorgueillit de sa « liberté d’expression »… à condition qu’elle reste bien rangée dans la colonne Opinion du journal du matin. Pendant que les rédactions ronflent, Juan Branco, lui, parlait. Pas pour plaire. Pas pour négocier. Pour rappeler — ce mot devenu presque subversif — ce qu’est un pays qui tient debout.

« Nous devons lutter contre le principal allié du pouvoir : la solitude et le désengagement »

La voix de Branco résonne dans la salle, comme un écho interdit :

« Nous sommes à un moment de bascule, où la moindre concession que l’on fera aux offensives contre chacun d’entre nous… doit nous mobiliser tous. »

« Nous devons nous battre, ne pas lâcher un centimètre, face à ceux qui sont prêts à tout pour demeurer au pouvoir et nous mener dans les effondrements qui sont les leurs. »

Pendant qu’il parlait de destin commun, certains médias étaient occupés à commenter la météo politique du week-end.
Parce qu’avouons-le, dénoncer le cynisme du pouvoir, c’est une chose ; dénoncer le silence complice de la presse, c’en est une autre. Et là, Branco a tapé où ça fait mal :

« Le principal allié du pouvoir aujourd’hui, c’est la solitude et le désengagement. »

Des mots simples, mais explosifs.
Parce qu’ils rappellent qu’on s’endort lentement dans le confort de notre propre indifférence, pendant que le réel, lui, crame.

Un discours d’avocat ? Non. Une gifle civique.

Branco n’a pas parlé comme un juriste, mais comme un homme libre qui sait ce que coûte la liberté :

« Je vous remercie d’avoir fait votre chemin malgré les intimidations, malgré le silence médiatique indécent… »

Le ton est grave, les phrases trébuchent parfois, mais la sincérité claque comme un drapeau dans le vent. Il parle des forces de l’ordre « inquiètes de leur propre destin », des citoyens « persécutés pour leurs idées », des enfants « dont l’avenir se joue ici ».
Et là, on applaudit.

Le silence médiatique, plus assourdissant que les applaudissement

Aucun grand média n’a relaté l’applaudissement. Aucun n’a relayé les mots.
Et pourtant, sur les réseaux, des centaines de témoignages racontent la même scène :
une salle pleine, une tension électrique, un discours vibrant, et un silence officiel à faire trembler les murs.

C’est peut-être ça, le vrai procès : pas celui de Branco, mais celui d’une presse devenue complice par omission.
Parce qu’entre dire la vérité et la taire pour « ne pas faire de vagues », il y a toute la dérive d’un pays qui a oublié ce que veut dire oser.

Et maintenant ?

Branco a conclu par une phrase que peu auront lue, mais que beaucoup devraient méditer :

« Je vous remercie d’être là. Je vous remercie d’être français. Je vous remercie de lutter pour une idée des nôtres. »

Peut-être que le vrai danger, ce n’était pas lui.
Mais le réveil des consciences pour nos élus.

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