Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Quand Yaël Braun-Pivet veut taxer les héritages, ces trucs qui « vous tombent du ciel »

Ah, l’héritage… ce moment magique où, entre deux funérailles, l’État surgit tel un vautour fiscal pour réclamer sa part du cercueil. Mais voilà que Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale et visiblement passionnée de redistribution cosmique, a décidé qu’il fallait « mieux taxer ce qui tombe du ciel ». Oui, vous avez bien lu. L’héritage, selon elle, ce n’est plus le fruit d’une vie de travail, d’économies, de sacrifices ou d’une maison bricolée les week-ends : c’est une météorite de pognon tombée par hasard.

L’héritage vu par Braun-Pivet : un miracle tombé du ciel

Dans son esprit, hériter d’un appartement à rénover ou d’une vieille Peugeot 205, c’est un peu comme gagner à l’Euromillions. Un coup de chance. Une pluie de billets tombée sans effort. On se demande juste si elle vit dans le même pays que les Français qui se battent déjà pour payer les droits de succession sur une maison familiale payée trente ans de crédit.

Mais non, pour elle, « ça tombe du ciel », donc ça doit tomber… dans les caisses de l’État. Logique.

Quand l’État devient le notaire universel

Les Français, eux, connaissent un autre ciel : celui qui leur tombe sur la tête quand ils découvrent le montant à verser au fisc pour toucher ce que leurs parents ont déjà payé et remboursé toute une vie.
Mais visiblement, ce n’est pas suffisant. Madame Braun-Pivet pense qu’il faut « corriger les inégalités ». En clair : prendre encore plus à ceux qui ont eu le malheur d’avoir des parents prévoyants.

On imagine déjà le discours à l’Élysée :

« Mes chers concitoyens, il faut taxer davantage les morts, car ils ne peuvent pas protester. »

Pendant ce temps, les vraies fortunes – celles avec des conseillers fiscaux, des holdings au Luxembourg et des villas aux Seychelles – continueront de dormir sur leurs fondations offshore.

Les héritiers de la France d’en bas : bons à plumer

Parce qu’en France, l’égalité, c’est toujours au détriment de ceux qui ne peuvent pas fuir. L’État adore taper sur les petits héritages : l’appartement des grands-parents, le pavillon en banlieue, le terrain familial dans le Gers.
Mais toucher aux gros patrimoines ? Non, non, trop risqué.
Alors on invente des mots comme « justice fiscale » pour dissimuler une prédation déguisée.

Le mot de la fin (avant le coup de tonnerre fiscal)

Si un jour un ministre tombe du ciel, espérons qu’on ne nous taxe pas pour avoir levé les yeux.
Car à ce rythme, même l’air qu’on respire finira dans la base imposable.

Braun-Pivet voulait faire pleuvoir la justice sociale, elle a juste inventé l’averse de taxes.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*