Ah, la fameuse tournée mondiale de la grippe. Pas de scène, pas de tournée promo, mais un storytelling à faire pâlir les agences de com’.
Chaque année, on nous ressort le même couplet : la grippe fait son petit tour de la planète, passe par l’Australie, prend l’avion pour l’Europe, et hop — revoilà le grand show viral de l’hiver.
Sauf qu’entre deux “points scientifiques” et trois “alertes sanitaires”, la rengaine devient toujours la même : “On a raison d’avoir peur.”
Ah bon ?
Parce que la grippe australienne aurait pris un visa Schengen ?
“Grâce à l’OMS” (ou comment vendre la peur avec un ruban bleu)
Chaque année, c’est la même chorégraphie :
- L’Australie éternue.
- L’Europe tousse.
- L’OMS encaisse.
On nous explique, avec un sourire doctement rassurant, qu’on “récupère les ARN des virus de l’hémisphère sud”.
Traduction : on clone la panique, on la met en flacon, et on appelle ça un vaccin saisonnier.
Et quand on nous dit qu’il faut se dépêcher, “parce que c’est maintenant ou jamais”, on comprend vite que le virus n’est pas le seul à circuler : le marketing aussi.
Le vaccin, cette cape d’invisibilité en plastique
“Depuis le 14 octobre, une pré-couverture.”
Autrement dit, une moitié d’efficacité, une pincée de foi, et une dose complète de bonne conscience.
Mais attention : ce n’est pas la “loi du winon” (non, ce n’est pas un spiritueux à base de paracétamol), c’est la loi du business.
Car pendant qu’on vous promet une “adaptation en temps réel”, les labos, eux, n’adaptent qu’une chose : le prix.
Et le Covid dans tout ça ?
Ah, le duo remixé “Covid & Grippe, saison 2025”.
Même recette :
- Une souche “comparable”
- Un discours anxiogène
- Et un vaccin “efficace” pourvu que vous soyez docile.
“Les gens faibles risquent une atteinte délétère”, dit le médecin.
Merci Docteur, on risquait justement de se sentir bien.
Pendant ce temps-là, les spots télé enchaînent les visuels de seniors souriants, de bébés bien emmitouflés et de slogans rassurants.
La réalité, elle, se cache entre deux lignes : “On a raison d’avoir peur.”
Oui, mais surtout raison de douter.
Pourquoi la grippe s'annonce sévère cet hiver pic.twitter.com/m5qgi7lCpM
— BFMTV (@BFMTV) October 17, 2025

Cela fait des décennies que l’on nous sert la même salade et il y en a encore qui en redemande ! Faudra les tuer pour qu’ils ne se vaccinent plus !