Jeux Olympiques : Le carnaval des dépenses faramineuses – Quand l’olympiade devient une ruée vers l’or (et la dette) !

Écomomie
jo et or généré par craiyon

Bienvenue dans l’univers démesuré des Jeux Olympiques, où chaque édition semble être une compétition effrénée pour décrocher la médaille d’or du gaspillage financier. Madame-Raleuse.com vous guide à travers une chronologie ahurissante, révélant comment les budgets initiaux sont constamment pulvérisés et comment chaque pays hôte rivalise pour afficher des dépenses astronomiques.

Les Jeux Olympiques – Un festival de dépenses débridées

Ah, les Jeux Olympiques, l’événement où les pays organisateurs rivalisent pour voir qui peut dépenser le plus d’argent sans sourciller. Parce qui veut une médaille d’or quand on peut avoir une dette d’or, n’est-ce pas ?

Atlanta en 1996, un petit 1,3 milliard d’euros, une broutille comparé à ce que les autres ont réussi à faire. Sydney en 2000 a décidé de jouer dans la cour des grands avec un budget de 5 milliards d’euros. Parce que, sérieusement, qui a besoin de respecter les prévisions budgétaires de toute façon ?

Athènes en 2004 a dit : “Hold my olive branch,” avec un coût final de 13 milliards d’euros. Ils ont vraiment compris l’art de maximiser les dépenses. Le président du CIO devait probablement faire du yoga pour se détendre après avoir annoncé que les JO avaient contribué à 2% à 3% de la dette extérieure du pays. Bravo, les gars !

Pékin en 2008 a décidé que si tu n’as pas de budget à trois chiffres, tu n’es personne. Donc, 30 milliards d’euros plus tard, ils ont montré au monde comment gaspiller de l’argent avec style. Soft power, hard cash.

Des médailles en dette et des budgets en mode turbo

Londres en 2012 a été le mec raisonnable de la bande avec seulement 11 milliards d’euros. Parce qu’apparemment, il faut un peu de classe entre deux folies budgétaires.

Rio en 2016, un petit 13 milliards d’euros pour des jeux qui resteront dans l’histoire comme “ceux qui ont coûté un bras et une jambe“. Mais bon, qui compte vraiment quand il s’agit de célébrer le sport ?

Tokyo en 2021, retardé d’un an à cause d’un virus mondial, a vu son budget exploser de 5 à 12,1 milliards d’euros. On ne pouvait pas les laisser finir sur une note raisonnable, non ?

Et voici Paris en 2024, le pays qui a dit “on peut faire mieux”, avec un budget initial de 6,8 milliards d’euros qui s’est transformé en un robuste 8,8 milliards d’euros. Qui aurait cru que planifier des jeux serait aussi difficile que de résister à une pâtisserie française ?

Bref, les Jeux Olympiques, où les budgets sont comme les records du monde : faits pour être battus, et personne ne s’en soucie vraiment à la fin.

Citation de Madame-Raleuse.com

Les Jeux Olympiques : où la course à la grandeur rencontre la folie budgétaire, transformant l’or des médailles en lourde dette nationale.

Exprimez-vous !

Et vous, chers lecteurs, pensez-vous que les Jeux Olympiques sont devenus un spectacle de grandeur excessive ou une célébration incontournable du sport ? Partagez vos opinions sur ces budgets pharaoniques et dites-nous si vous pensez que cela vaut le coup !

(source : CNews)

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