Par Madame-Raleuse.com – où les procès d’intention ont plus de panache que ceux du tribunal de Paris.
Ah, la politique française. Ce théâtre d’ombres où les ennemis jurés finissent par partager le même banc — celui des prévenus. Et comme dirait l’autre : « On ne choisit pas toujours ses amis, mais on reconnaît les siens à leurs condamnations. »
Coup de tonnerre dans le landerneau politico-médiatique : Jean-Luc Mélenchon, tribun de la gauche radicale, défenseur des opprimés, du peuple, de l’écologie révolutionnaire et des chatons anticapitalistes… se prend soudain d’affection pour Marine Le Pen. Oui, Marine « condamnée pour détournement de fonds européens » Le Pen, version 2025, leader d’un Rassemblement national plus repeint que réformé.
Et là, tout devient limpide : quand on est soi-même dans le viseur de la justice pour des assistants parlementaires fantômes, on développe une certaine empathie pour ceux qui ont juste eu un peu d’avance dans le palmarès des casseroles.
Quand la solidarité devient judiciaire
Mélenchon qui, rappelons-le, vociférait contre les magouilles du RN, se met désormais à défendre la présomption d’innocence de Le Pen avec une chaleur qu’on ne lui connaissait que pour les insoumis. La raison ? Un éclair de lucidité ou un bon vieux réflexe de « tiens, on est deux dans le même bateau, autant ramer ensemble jusqu’au PNF ».
S’il ne soutient pas politiquement Marine Le Pen, il la défend moralement, voire pénalement. Un grand moment de « je t’aime, moi non plus » judiciaire où les grandes causes s’effacent devant la peur partagée de finir avec un bracelet électronique en guise de montre connectée.
« Tous pour un, un pour tous, et les avocats pour chacun »
Imaginez : Mélenchon, Le Pen, Bayrou et consorts réunis dans une cellule VIP, à refaire le monde entre deux verres de Château Margaux et des dossiers de procédures en appel. Le rêve de tout justiciable politique devenu réalité.
Car oui, défendre Marine Le Pen, ce n’est pas trahir ses idées, c’est préparer sa propre ligne de défense. On appelle ça le pragmatisme judiciaire. L’union des extrêmes… sous contrainte judiciaire.
Conclusion : la justice, le seul parti qui les rassemble
Alors, pourquoi Mélenchon soutient Marine Le Pen ? Parce qu’il comprend. Parce qu’il compatit. Parce que quand on est dans la même galère, on finit toujours par se passer les rames, les avocats… et les excuses à la presse.
À ce rythme, on pourrait bientôt voir naître un nouveau parti :
« La France Condamnée mais Solidaire ».
Leur slogan ? « Ce n’est pas un casier, c’est un CV de résistance. »
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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