Ah, la France ! Ses fromages, ses grèves, ses apéros… et ses trafiquants de drogue qui portent plainte pour vol. Oui, vous avez bien lu. Dans le Rhône, des malfrats du cannabis, probablement en pleine crise existentielle (ou de stock), se sont fait détrousser plus de neuf tonnes de marchandise, et – moment surréaliste – ont appelé les gendarmes. (source : France Info) Non pas pour avouer leurs crimes, non. Mais pour dénoncer… une injustice. Parce que voler un voleur, ça reste du vol, non ?
🔍 Résumé de l’affaire : – Des trafiquants se font voler neuf tonnes de cannabis.
– Ils fournissent spontanément aux forces de l’ordre les infos utiles sur la cargaison.
– Les gendarmes retrouvent le camion et interpellent les voleurs.
– Tout le monde finit au poste. Y compris, probablement, les « plaignants ».
🎬 Bienvenue dans l’épisode 42 de la série « France, ce doux pays où le réel dépasse la fiction ». On imagine déjà le dialogue au commissariat :
— Bonjour, j’aimerais signaler un vol.
— Très bien, que vous a-t-on dérobé ?
— Neuf tonnes de cannabis.
— …Et vous êtes ?
— Trafiquant, mais honnête !
Et pendant ce temps-là, les petits dealers de quartier pleurent de jalousie : eux n’ont jamais pensé à déposer plainte quand leurs sachets disparaissaient dans les poches profondes d’un fumeur distrait.
Entre Kafka et Columbo
Ce genre de nouvelles, c’est un peu du Kafka revisité à la sauce pétard. Les malfrats en question ont non seulement signalé le vol, mais ont collaboré avec la police. Ils ont fourni des éléments sur le camion et sa cargaison. Un service après-vente plus efficace que certaines boîtes de transport légal. Le tout s’est soldé par plusieurs interpellations, grâce aux informations… des complices originels. On touche ici au génie stratégique : dénoncer son propre vol sans mesurer que cela implique d’avouer ce qu’on faisait.
Et la suite ?
Eh bien, au prochain braquage, on peut s’attendre à ce que les malfaiteurs exigent des reçus. « Bonjour Monsieur le juge, j’ai les preuves, ils ont volé ma drogue, regardez, j’ai gardé la facture du cartel. »
À ce rythme, il ne manque plus que les syndicats du crime demandent une meilleure protection sociale, une prime de risque et un label « trafic responsable ».
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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