Ursula, ses textos et Pfizer : enquête sur un ghosting à plusieurs milliards d’euros

Transparence ? Quelle transparence ?
Quand on gère des contrats à plusieurs milliards d’euros pour vacciner 447 millions d’Européens, le minimum serait peut-être… d’en garder une trace écrite.
Mais Ursula von der Leyen, elle, préfère le SMS. Et l’amnésie sélective.

Une affaire de textos… et de trous de mémoire très sélectifs

Le Tribunal de l’Union européenne a tranché : la Commission a menti mal, très mal.
Ou plutôt, elle a “refusé de façon non plausible” de communiquer les SMS échangés entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer en pleine crise Covid. (source : Le Monde)
La journaliste du New York Times qui avait demandé à voir ces échanges n’a pas obtenu des textos, mais un mur. Un ghosting bureaucratique, version UERSS.

Et l’argument en béton de Bruxelles ?

“Les SMS n’avaient pas de contenu substantiel.”
Bien sûr. Comme si on négociait des milliards d’euros de contrats publics avec le PDG de Pfizer pour parler… météo ?

UERSS : Union Européenne de la Rétention et du Secret Sanitaire

Souviens-toi : en pleine pandémie, Ursula Von der Leyen décide seule d’ouvrir un canal de discussion “direct” avec Albert Bourla, patron de Pfizer. À coups de SMS privés.
Pas d’archives. Pas de compte-rendu. Pas de preuves.
Et maintenant ? On apprend que la Commission ne sait pas où chercher ces messages, ni même si elle les a encore.
Mais tout va bien. Elle “prend acte” de la décision de justice. Et s’engage à… fournir des explications plus détaillées.
Autrement dit : attendez qu’on invente une excuse plus crédible.

Transparence version Ursula : cache-cache avec l’intérêt public

Ce n’est pas la première fois que cette affaire dérange :

  • En 2022, la médiatrice européenne avait déjà dénoncé ce manque de transparence.
  • Des plaintes pénales ont été déposées en Belgique pour “destruction de documents” et “corruption” — notamment par la Pologne et la Hongrie.
  • Et le tribunal vient de rappeler que ces messages entrent bel et bien dans le cadre de la législation sur l’accès aux documents publics.

Mais bon. Apparemment, à Bruxelles, un SMS présidentiel n’est pas un document, mais un chuchotement entre amis.

Et pendant ce temps… les milliards de doses s’empilent

Pfizer-BioNTech a été le plus gros fournisseur de vaccins à l’UE.
Des dizaines de millions de doses commandées. Des contrats signés à l’aveugle, sans accès public aux détails.
Et maintenant qu’on veut savoir ce qu’il y avait dans les coulisses ?

« Désolé, on n’a pas les textos. »
C’est sûr que c’est moins engageant qu’un QR Code.

Madame-Raleuse s’interroge : et si les SMS d’Ursula, c’était notre pass-vérité

Et si, derrière ce flou artistique, se cachait le vrai virus : celui de l’impunité technocratique ?
Quand l’élite bruxelloise discute en cachette avec Big Pharma, qu’on efface les preuves et qu’on refuse de rendre des comptes, on n’est plus en démocratie.

On est dans le théâtre de marionnettes version UERSS. Et Ursula a oublié qu’un texto, c’est court… mais ça laisse des traces.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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Un commentaire sur « Ursula, ses textos et Pfizer : enquête sur un ghosting à plusieurs milliards d’euros »

  1. Ce n’est donc pas à l’UE de tout savoir des citoyens mais aux citoyens de savoir tout de l’UE………………….
    L’UE sans contrôle est soumise à la médiocrité des hommes, et ce qui ne se contrôle pas ne progresse pas. C’est la réalité française et de l’UE !……………………………..
    En UE il n’y a pas le pouvoir mais l’abus de pouvoir et donc la faiblesse des contre-pouvoirs citoyens.

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