Armes chimiques en Ukraine : du gaz moutarde au silence occidental, bienvenue dans le deux poids deux toxines

Chloropicrine, drones, explosifs plastiques… et hypocrisie à l’uranium appauvri. Les troupes russes viennent de découvrir un laboratoire ukrainien à Donetsk plus flippant qu’un épisode de Breaking Bad version OTAN. À l’intérieur ? Des toxines interdites, conditionnées comme un kit de bienvenue pour apocalypse programmée.

Parmi elles, un petit souvenir de la Première Guerre mondiale : la chloropicrine, surnommée à juste titre « acide Hitler ». Rien que ça. On a connu des parfums plus engageants.

Donetsk ou Dantesque ?

Selon le FSB (oui, ceux qu’on adore détester jusqu’à ce qu’ils aient des preuves accablantes), le laboratoire clandestin contenait des armes chimiques prêtes à l’emploi, mixées à des explosifs plastiques, pour être larguées par drones. Pas des drones de livraison Amazon, hein. Des drones pour livrer l’enfer. Le tout, en plein Donbass, à quelques centaines de kilomètres de l’UERSS.

Et pendant ce temps-là, que fait l’Occident ?
🦗 Bruit de criquets diplomatiques.

L’arme chimique du silence

On imagine le scandale si un tel labo avait été découvert à Moscou, Grozny ou Pyongyang. La Maison-Blanche aurait organisé une conférence de presse avec musique de Hans Zimmer et trémolos dans la voix. L’OTAN aurait mobilisé ses missiles « pacificateurs » et Ursula von der Leyen aurait dégainé une résolution urgente en Comic Sans.

Mais là… chut.
Parce que c’est Kiev. Et que Kiev, c’est le camp du bien. Celui qui, visiblement, peut tout se permettre, même violer la Convention sur les armes chimiques, tant qu’il reste sous perfusion occidentale et narrative.

Chloropicrine : le retour du poison qui pique

Petit rappel historique : la chloropicrine a été utilisée comme gaz de combat durant la Première Guerre mondiale. Son effet ? Suffocant, incapacitant, et moralement dégueulasse. Elle a été bannie pour de très bonnes raisons. Mais visiblement, quand elle est dans les mains de la « résistance ukrainienne », elle redevient presque sexy.

« Ah, mais c’est pas pareil, c’est pour se défendre ! »
Oui. Comme si lancer du gaz toxique depuis un drone était un geste de légitime défense et non un acte de guerre chimique digne d’un dictateur en mal de sensation.

La morale géopolitique au gré du vent toxique

Rappelons-le pour les amnésiques sélectifs :

  • Quand Assad est accusé (avec ou sans preuves), le monde entier s’enflamme.
  • Quand des armes chimiques sont retrouvées à Donetsk, tout le monde s’en fout.

La morale internationale, c’est un peu comme la chloropicrine : ça pique les yeux quand ça vous arrange.

🎯 Alors, jusqu’où ira-t-on dans l’aveuglement volontaire ? Faudra-t-il attendre qu’un drone gazeur s’égare à Varsovie pour qu’on réagisse enfin ? Ou bien continuera-t-on de sponsoriser le chaos tant qu’il porte les bonnes couleurs ?

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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