200 milliards d’euros, ça vous parle ? Non, ce n’est pas une somme investie dans l’éducation, la santé ou la transition écologique. C’est le montant astronomique des aides publiques versées aux grandes entreprises, sans aucune contrepartie. (source : L’insoumission) Et vous savez quoi ? Pendant qu’on finance leurs profits, elles licencient en masse ! Madame-Raleuse.com vous dévoile l’absurdité de ce scandale financier.
200 milliards d’euros : la générosité publique qui finance… la casse sociale !
Ah, l’argent magique ! On nous dit qu’il n’existe pas, mais pourtant, voilà près de 200 milliards d’euros de subventions, niches fiscales, et autres cadeaux bien emballés, glissés discrètement aux entreprises chaque année. Vous ne saviez pas ? Eh bien, c’est normal, personne n’aime trop en parler, surtout pas Michel Barnier qui préfère nous amuser avec ses 60 milliards de coupes budgétaires comme s’il s’agissait du dernier sketch à la mode.
Imaginez, 30 % du budget de l’État, soit le double du budget de l’Éducation nationale. Laissez tomber vos idées de recruter des professeurs, de rénover des écoles ou de payer décemment les soignants. Non, non, cette montagne d’argent est bien mieux utilisée pour engraisser quelques multinationales qui, soyons honnêtes, en avaient vraiment besoin. Parce qu’avec leurs petits bénéfices records, comment pourraient-elles envisager l’avenir autrement que grâce à la sollicitude des contribuables ?
Subventions ou subversions ?
Ces 200 milliards, c’est un peu comme un gâteau géant. Seulement, contrairement à votre gâteau d’anniversaire, celui-ci est entièrement dévoré par une poignée d’entreprises qui, généreusement, vous en laissent une miette. Subventions directes, exonérations de cotisations, … Ah, la douce mélodie des dépenses publiques ! Vous pensiez que cela servait à construire des hôpitaux ou à financer des politiques sociales ? Quelle naïveté ! Tout ce bel argent est surtout là pour rendre les riches un peu plus… riches.
Et ne croyez pas que cela vient d’hier. Non, c’est une tradition bien ancrée, un héritage précieux des années 2000, magnifiquement perpétué par un certain Emmanuel Macron, qui, rappelons-le, a toujours su prendre soin de ses amis entrepreneurs. Et le clou du spectacle : le CICE, cette merveille d’ingéniosité financière, qui nous a coûté plus de 100 milliards d’euros pour, euh… créer des emplois ? Non, pardon, délocaliser et licencier à tour de bras. Forvia, anciennement Faurecia, vous fait un clin d’œil avec ses 600 millions de subventions et ses 10 000 emplois supprimés. Une véritable success story à la française !
Des aides pour licencier, ça c’est de l’efficacité !
Parlons-en justement de ces suppressions d’emplois. Les aides publiques, c’est un peu comme une trousse de premiers secours, mais version dystopique : on y pioche non pas pour soigner, mais pour saigner. Forvia, donc, après avoir encaissé 600 millions d’euros, annonce la suppression progressive de milliers d’emplois, tout en jubilant de ses bénéfices records. Une situation qui devrait faire frémir de joie tout économiste libéral qui se respecte. Mais ne tapons pas trop fort sur Forvia ce n’est pas la seule, nombreuses sont celles qui jouent ce rôle a merveille !
Parce que, soyons clairs : à quoi bon maintenir des salariés lorsqu’on peut obtenir de l’argent public pour les licencier ? On ne pourrait pas imaginer meilleure utilisation de l’argent des contribuables, n’est-ce pas ? Sans parler de Michelin, qui, avec ses crédits d’impôt, a préféré dire « au revoir » à la France pour aller produire en Pologne. Eh oui, l’argent du contribuable voyage beaucoup plus qu’on ne le pense !
Le contribuable ? Oh, il peut bien payer pour ça…
Pendant ce temps, le gouvernement joue les aveugles face à ces 200 milliards évaporés, mais ne rate pas une occasion de serrer la vis aux services publics. Moins d’aides sociales, moins de services, mais toujours plus de sacrifices pour l’État social. Après tout, il faut bien compenser quelque part pour que ces pauvres entreprises puissent continuer à bénéficier de la solidarité nationale. Ne soyez pas ingrats, c’est tout de même grâce à elles que l’économie ne s’effondre pas… Ah non, pardon, l’économie s’effondre déjà, mais au moins, elles, elles vont bien !
Mais rassurez-vous, des solutions existent !
La France Insoumise, dans sa grande sagesse, propose tout un tas de mesures pour remettre un peu d’ordre dans ce chaos financier. Conditionner les aides, supprimer les niches fiscales inutiles, rétablir l’ISF, taxer les superprofits… En bref, prendre un peu aux riches pour arrêter de saigner les pauvres. Mais bon, ne rêvons pas trop : ce serait trop demander à un gouvernement qui a érigé l’austérité en art de vivre et la générosité aux entreprises en dogme économique.
Alors, 200 milliards d’euros pour licencier, délocaliser et maximiser les marges ? Oui, c’est cher payé, mais que ne ferait-on pas pour préserver ce beau système capitaliste qui nous tient tant à cœur ?
Citation de Madame-Raleuse.com
200 milliards d’argent public pour financer des licenciements, ça ne choque personne ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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