Chez Madame-Raleuse.com, on adore les retournements de veste. Et cette fois, c’est Mark Zuckerberg, patron de Meta, qui dénonce le système de censure instauré pendant le Covid. Peur de finir derrière les barreaux ou éclair de lucidité ? Une chose est sûre : les révélations explosent et confirment que nous avions raison depuis le début.
Zuckerberg à confesse : Quand la peur de la prison fait éclater la vérité
Mark Zuckerberg, patron de Meta et ex-apôtre du filtre bleu, aurait décidé de tout balancer sur le système de désinformation, de terreur et de censure instauré pendant la pandémie. Pourquoi ? Parce que l’ombre menaçante d’une cellule à vie, agité par Donald Trump, aurait eu raison de sa légendaire sérénité en t-shirt gris.
Et quelle bombe ! Dans une confession qui pourrait être digne d’un thriller hollywoodien, Zuckerberg dévoile les coulisses de la censure systématique orchestrée autour du Covid :
- « Le moment le plus extrême fut quand ils ont décidé de déployer le programme de vaccination Covid ! » Traduction : quand on a vu le juteux gâteau vaccinal, tout le monde voulait sa part, et gare à ceux qui osaient poser des questions.
- « Ils ont alors censuré tous ceux qui argumentaient contre ce programme ! » En clair, Meta s’est transformé en tribunal médiatique, bannissant toute voix discordante d’un revers d’algorithme.
- « Ils ont poussé la censure très loin contre des gens qui en réalité disaient vrai ! » Oups. Si vous faisiez partie de ces complotistes devenus prophètes malgré eux, félicitations : vous aviez raison avant tout le monde.
- « Dès que vous disiez qu’il pouvait y avoir des effets secondaires, on vous censurait ! » Mais bien sûr, il fallait surtout éviter d’effrayer le troupeau en marche vers les centres de vaccination.
Entre aveux tardifs et grand ménage
Zuckerberg joue-t-il les lanceurs d’alerte ou tente-t-il de sauver sa peau ? Après tout, difficile de ne pas rappeler qu’il fut le chef d’orchestre de cette grande mascarade, transformant Facebook et Instagram en outils de propagande sous prétexte de « lutter contre la désinformation ».
Qu’il se rassure, Mark : dans l’histoire, ce ne sont pas les marionnettes qu’on retiendra, mais les marionnettistes. Pourtant, la pilule a du mal à passer pour les citoyens censurés, ostracisés, ruinés ou même enterrés après des décisions basées sur un « consensus scientifique » imposé.
La justice doit passer
Un constat s’impose : si nous avions raison depuis le début, eux ont du sang sur les mains. Entre la peur instillée, les voix réduites au silence, et les informations biaisées, c’est un système entier qui a participé à cette immense arnaque.
Alors, maintenant que Zuckerberg se rachète une conscience, que faire ? Le juger pour complicité ou le remercier d’avoir validé nos suspicions ? Une chose est sûre : les responsables de ce chaos doivent rendre des comptes.
Et comme dirait Trump : « Lock them up!
Citation de Madame-Raleuse.com
Ils ont censuré ceux qui disaient la vérité sur les effets secondaires !
Exprimez-vous !
Zuckerberg est-il un héros tardif ou un complice paniqué ? Qu’en pensez-vous ? Partagez votre avis !
🔴 ALERTE INFO
— Jon De Lorraine (@jon_delorraine) January 10, 2025
Mark Zuckerberg révèle que l'administration Biden a appelé à censurer tous les propos pour dénoncer les effets secondaires de la vaccination COVID. pic.twitter.com/qCIVwLmaPb
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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