Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Fondations d’éoliennes : ces montagnes de béton enterrées pour l’éternité… mais chut, faut pas le dire

Ah, les éoliennes.
Ces grandes brindilles métalliques qu’on nous vend comme le summum de la vertu écologique. Des géantes prêtes à sauver la planète avec leurs pales qui tournent (quand il y a du vent, hein, faut pas exagérer non plus).

Mais derrière l’image carte postale du progrès vert, il y a un petit détail que personne n’aime évoquer : les fondations.
Oui, ces modestes blocs de 1 000 à 2 000 tonnes de béton armé, enterrés comme un secret de famille honteux.
Un détail, vraiment.

Quand l’écologie rime avec “bétonnage XXL”

Parce que c’est ça la magie des éoliennes :
On te parle de vent, d’énergie propre, de futur radieux.
On oublie de te dire que sous chaque mât se cache l’équivalent d’un immeuble de cinq étages couché dans le sol, en béton armé, câblé, ferraillé, bref : prêt à rester là jusqu’à la fin des temps.

Alors LA question :
Comment on enlève ces fondations quand l’éolienne est démontée ?

Réponse courte :
On ne les enlève pas.

Réponse longue :
On ne les enlève pas, et personne n’a vraiment l’intention de le faire.

Le mythe du “on remet les terrains en état”

Ah, celle-là, elle est belle.
Dans les dossiers, c’est toujours écrit :

“Le site sera remis en état d’origine.”

Ah bah oui, bien sûr.
Il suffit de déterrer 2 000 tonnes de béton compacté à 3 mètres de profondeur, transportées par 120 camions, broyées, triées, évacuées, recyclées (lol), puis remettre de la terre végétale par-dessus avec un petit ratissage zen.

Dans la vraie vie ?
On gratte 30 cm de terre, on replante deux marguerites en plastique, et hop :
“Site réhabilité.”

Le béton reste.
Le béton reste toujours.
Même quand l’éolienne déguerpit, son squelette, lui, squatte le sol pour quelques millénaires.

Mais attention, c’est écologique, hein.
Faut suivre la narration.

Et en Allemagne ? On démonte un parc entier… mais le béton reste !

C’est la cerise sur l’éolienne.
L’Allemagne démonte actuellement son plus grand parc éolien — trop vieux, trop inefficace, trop… enfin bref.

Les mâts ?
On démonte.
Les pales ?
On entasse dans des décharges parce qu’elles ne se recyclent pas.

Les fondations ?
Ah mais ça, non.
Trop cher. Trop long. Trop compliqué.
On laisse.

Écologie 2.0 :
Tu casses, tu laisses les ruines, tu appelles ça une transition.

Conclusion : Les éoliennes, c’est un peu comme les ex toxiques…

Ça arrive avec plein de belles promesses.
Ça fait beaucoup de bruit.
Ça te coûte un bras.
Et quand ça part…
Ça laisse un trou immense et beaucoup de dégâts enterrés.

Mais chut…
Faut surtout pas le dire.
Faut penser énergie verte, respirer très fort… et ignorer le béton.

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