Guide de communication inclusive à Bruxelles : comment dire “Marie” sans déclencher la Troisième Guerre mondiale

Bienvenue dans le monde merveilleux de l’Union européenne. Vous pensiez qu’elle ne servait qu’à décider de la taille des concombres et à subventionner les ronds-points ? Détrompez-vous. Désormais, elle veut aussi vous apprendre à parler, et surtout, à ne plus dire ce qui pourrait choquer les petits cœurs fragiles du wokistan bruxellois.

“Mesdames et Messieurs” ? Circulez, c’est transphobe.

Le document – heureusement “retiré” (mais qu’on a lu, nous) – nous explique ce qu’on ne doit plus dire pour rester inclusif. Exemple : fini “Madame” et “Monsieur”. Trop binaire. Trop XX ou XY. Trop biologiquement ringard.

Bienvenue à Mix Pujadas, MX Boniface, MX qui-vous-voudrez.
Parce que dire “Madame” à une femme trans, c’est violent. Mais ne pas dire “Madame” à une vraie femme, c’est… tant pis pour elle.

Noël ? Jamais entendu. En Europe, c’est “la période de vacances d’hiver”.

Dans l’Europe du XXIe siècle, Noël n’est plus une fête chrétienne. C’est une micro-agression festive. On vous invite donc à dire :

“La période de congés hivernaux de fin de cycle social festif non confessionnel.”

Oui, c’est moins convivial qu’un « Joyeux Noël », mais au moins, vous ne déclencherez pas un infarctus chez votre voisin végano-bisexuel-agenré.

Marie et John ? Non inclusif. Malika et Julio ? Parfait !

Dans la version UE du couple moderne, Marie devient Malika et John se transforme en Julio. Pourquoi ? Parce que Marie, c’est trop chrétien.
Mais fun fact : Marie est citée 34 fois dans le Coran. Plus que dans certains catéchismes.
Donc Marie, c’est trop chrétien pour l’Europe, mais pas assez pour le Coran.
Logique bruxelloise : niveau fond de tiroir, version papier mâché.

Inclusif ? Non. Diviseur.

Ce guide, censé refléter la diversité, n’est rien d’autre qu’un manuel d’auto-censure militant.
Au nom de l’égalité, on invisibilise le réel. Au nom de l’inclusion, on exclut tout ce qui est enraciné. Et toujours avec vos impôts, bien sûr.

Pendant que les chrétiens sont les plus persécutés au monde, Bruxelles supprime Noël.
Pendant que la médecine continue à doser les médicaments sur des modèles masculins, l’UE efface la biologie pour des lubies de genre.

L’UE(RSS) veut vous faire aimer l’effacement culturel

Ce document n’est pas juste ridicule. Il est dangereux. Parce qu’en prétendant “représenter tout le monde”, il divise les peuples, crée des hiérarchies victimaires, et insulte l’intelligence des citoyens.
Mais Elena Dalli, la commissaire à l’Égalité, vous expliquera qu’il s’agit juste de “refléter la diversité”… avec une grille de mots interdits, un dico autorisé et un air de commissaire soviétique tout droit sorti de l’Académie du bien-parler.

Dernier mot (autorisé ?) : NON.

Non à l’effacement.
Non à la bêtise.
Non à l’Union européenne qui préfère rééduquer les mots plutôt que défendre les idées.
Et surtout, Joyeux Noël, mesdames et messieurs.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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