France 2025 : Le Titanic de la dette fonce droit sur l’iceberg… mais l’orchestre joue toujours la Marseillaise

Pendant que le navire France prend l’eau de toutes parts, nos dirigeants, eux, jouent les illusionnistes, habillés en chefs de fanfare. Ils appellent ça de la gouvernance. Nous, on appelle ça du foutage de gueule.

Marc Touati l’a dit, redit, et crié au mégaphone sur Sud Radio : la France, c’est pas qu’un pays endetté. C’est une poudrière financière, sociale, politique… et bientôt psychiatrique, vu l’état de déni généralisé. 3 346 milliards d’euros de dette. Oui, milliards. Pas centimes. Pas petits-fours. Milliards.

Et pendant que le gouffre budgétaire s’élargit plus vite que les cuisses d’un ministre assis trop longtemps à Bercy, que fait notre orchestre gouvernemental ? Il continue de jouer… la danse des niches fiscales et le concerto pour retraites intouchables.

Macron, chef d’orchestre du naufrage : « Pas grave, on a mis 140 milliards pour la Défense »

Et 960 milliards de dettes en plus depuis 2020. Le magicien de l’économie invisible, Emmanuel Ier, parvient à faire disparaître 460 milliards sans que personne ne lève un sourcil. Chapeau. Ou plutôt : cercueil économique.

Pendant ce temps, le service de la dette dépasse 70 milliards par an, et le ministre de l’Économie annonce tranquillement qu’on atteindra 100 milliards bientôt. Même l’éducation nationale ne coûte pas aussi cher. C’est dire à quel point on préfère rembourser les banques que former des cerveaux.

Les agences de notation ? Des sourds-muets avec un bandeau sur les yeux

Fitch, Moody’s et compagnie continuent de nous caresser dans le sens du triple A… enfin, double A… enfin, on ne sait plus trop, ils non plus. Une chose est sûre : elles notent la France comme les agences notaient les subprimes en 2008. C’est rassurant. Surtout pour ceux qui aiment les crashs.

L’espoir d’une « thérapie choc bienveillante »… mais sans Doliprane

Marc Touati propose des solutions, mais chuuuut. Personne n’en veut. Baisser les impôts ? Réduire les dépenses de fonctionnement ? Supprimer les 700 organismes publics inutiles ? Trop simple. Trop efficace. Pas assez woke-compatible.

Et puis surtout… pas touche aux retraites de la fonction publique, qui engloutissent des milliards pendant que le secteur privé rame à la rame. 6,1 millions de fonctionnaires en activité, 6,4 millions à la retraite. Même la calculette de l’INSEE ne veut plus faire les additions.

L’arrivée du FMI : le plan secret… ou l’aveu d’échec programmé ?

Touati le dit : la mise sous tutelle par le FMI n’est plus un fantasme, c’est une option sur la table. Une Grèce version UERSS, avec coupes budgétaires, retraites sabrées, salaires gelés, distributeurs vides, mais policiers payés (faut bien maintenir l’ordre, hein).

Le pire ? Ce n’est même pas un accident. C’est une stratégie. Comme ça, nos incapables pourront dire : « C’est pas nous, c’est le FMI. » Brillant. Et lâche. Très lâche.

Et si on osait enfin… gouverner ?

Baisser la CSG. Réduire les impôts de production. Lutter contre la fraude (la vraie, celle des mafias, pas celle du boulanger qui a mal compté ses tickets resto). Réformer les retraites avec un brin d’équité. Réduire les dépenses inutiles plutôt que les prestations essentielles.

Mais pour ça, il faudrait un gouvernement. Pas un club de théâtre. Et un chef. Pas un influenceur en costard trois pièces qui croit qu’un tweet fait une politique.

En attendant, on coule. Mais avec classe.

Marc Touati termine avec lucidité : “On n’a pas encore touché le fond de la piscine. On le racle.” Et si on continue à faire semblant de ne pas voir l’iceberg, le Titanic-France finira entre les bras du FMI. Et ce jour-là, même les violons ne couvriront pas les hurlements.

Alors ? On attend encore combien de milliards avant de réagir ? Venez râler en commentaire avant qu’on vous fasse payer l’accès aux mots.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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