Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Suspension Express de Juan Branco : Quand l’avocat de la sœur se fait raser la robe avant le grand bal judiciaire de Brigitte Macron

Ah, le hasard. Ce grand poète de la République.
À quarante-huit heures du procès le plus attendu depuis l’affaire du siècle (ou au moins depuis la dernière apparition télévisée de Cyril Hanouna), pouf, l’avocat de la sœur Juan Branco — se fait suspendre. (source : Pas une petite tape sur les doigts non, une vraie suspension façon “ne passez pas par la case Elysée, ne plaidez pas, ne touchez pas 20 000 euros”.

Neuf mois sans robe, ça fait un peu long pour un homme habitué à se battre contre “le système”. Mais visiblement, le système a décidé qu’il était temps de lui faire ranger sa robe dans la penderie du silence.

Le calendrier judiciaire de l’Élysée : précision suisse, efficacité chirurgicale

Le hasard de calendrier, toujours. La sanction tombe juste avant le procès Brigitte Macron contre le reste du monde.
Et qui va pleurer ? Certainement pas à l’Élysée, où l’on débouche sans doute le champagne.

Officiellement, il est puni pour avoir “violé le secret de l’enquête”. (source : Libération)
Officieusement, il a surtout violé le secret de fabrication d’un pouvoir qui préfère les avocats domestiqués aux francs-tireurs.

« Gravité exceptionnelle”, vraiment ?

Le Conseil de discipline parle de “gravité exceptionnelle”.
Ce qui, en langage judiciaire, veut dire : “il a osé parler”.
Et là, forcément, ça dérange. Car dans ce drôle de pays, on peut mentir à une commission parlementaire sans trop de conséquences, mais publier des extraits d’audition, ah ça non ! Le crime ultime !
On ne touche pas à la mise en scène de la vérité judiciaire. Surtout quand elle s’approche trop près du trône.

Le procès du siècle… sans l’un de ses acteurs principaux

Pendant que les robes noires font la morale, la justice continue son théâtre d’ombres : Branco dehors, Brigitte dedans, et la France qui regarde sans comprendre si elle doit rire, pleurer ou juste se préparer à un nouvel épisode du feuilleton “De la rumeur au complot”.

Et pendant ce temps, la liberté d’expression, elle, prend neuf mois de congé maternité.

Et maintenant ?

La décision est “effective depuis mardi”.
Pile à temps pour que le grand spectacle continue sans perturbateur au micro.
Le hasard, vraiment qui sait vraiment ?
On a connu des scénarios moins bien ficelés dans les séries Netflix.

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