piscine olympique généré par craiyon

Accrochez-vous, chers lecteurs de Madame-Raleuse.com ! Plongez dans le monde tumultueux des JO de Paris 2024, où le Centre Aquatique Olympique (CAO) devient le théâtre d’une incompétence monumentale et d’une métamorphose aquatique aussi épique que surréaliste. Attachez vos ceintures, car les jeux de l’absurde commencent ici !

Le CAO, symphonie aquatique d’incompétence

Ah, quelle brillante planification olympique, digne d’un chef-d’œuvre digne de Shakespeare ! Le Centre Aquatique Olympique (CAO) à Saint-Denis, alias le Titanic Aquatique, fait sensation en se noyant dans la médiocrité. Inauguré en grande pompe en décembre, c’est l’une des merveilles de la construction olympique, si vous considérez que le mot “merveille” signifie dépassement de budget et incompétence.

Paris, après avoir hiberné depuis 1924 en matière de grands championnats, s’est finalement réveillé pour offrir au monde le CAO, une piscine qui n’a pas fini d’inonder les contribuables de questions. D’une capacité de 5000 places, une quantité manifestement insuffisante, c’est comme si Paris organisait les JO dans son propre salon. Bravo pour cette anticipation éclairée !

Mais attendez, la natation en ligne, l’épreuve à la pointe de l’excitation, ne se tiendra pas dans ce palais aquatique de Saint-Denis. Non, non, elle prendra ses aises à la Paris la Defense Arena de Nanterre, parce que 5000 places, c’est pour les amateurs. Nous voulons du grand, du spectaculaire, du “bon sang, où sont les 15000 places nécessaires ?” Pourquoi ne pas simplement organiser les JO dans un bocal à poissons rouges tant qu’on y est ?

Et parlons argent, car qui n’aime pas une petite augmentation de coûts de 300 % ? Les 68 millions d’euros estimés ont été balayés comme des confettis, et voilà, le CAO vous coûte désormais 174 millions d’euros. Une somme qui pourrait facilement financer une équipe de plongeon composée de dauphins olympiques.

La magie aquatique de Paris 2024

Ah, mais attendez, il y a plus ! La Paris la Defense Arena va subir une transformation magique pour accueillir non pas des concerts de rock ou des matchs de rugby, mais deux bassins olympiques temporaires. Oui, parce que rien ne crie “Olympiques” comme un assemblage de panneaux en acier inoxydable venus tout droit d’Italie par semi-remorque. C’est comme si Michel-Ange lui-même était redevenu ouvrier du bâtiment.

Et ne vous inquiétez pas, ces bassins n’iront pas se perdre dans les profondeurs après les Jeux paralympiques. Non, non, Paris a lancé un appel aux collectivités de Seine-Saint-Denis, histoire de distribuer ces œuvres d’art aquatiques temporaires. Un bassin de 50 mètres ira à Sevran, un autre sera découpé en deux pour créer deux piscines de 25 mètres, l’une à Bagnolet, et l’autre cherche toujours une destination, probablement parce que même les piscines refusent de s’associer à une telle farce. Bravo, Paris, pour cette stratégie de recyclage aquatique digne d’une médaille en gymnastique mentale !

Citation de Madame-Raleuse.com

Les JO de Paris 2024 : là où la natation est un art, le gaspillage est une discipline, et l’incompétence une médaille d’or.

Exprimez-vous !

Et vous, cher lecteur, pensez-vous que Paris mérite une médaille d’or en planification olympique ou simplement en gaspillage public ? Partagez vos réflexions ci-dessous !

(source : Radio-France)

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2 Comments

  1. Dans les jeux olympique de la médiocrité la France est devenue championne toutes catégories

    [ A MEDITER ]
    Le fondateur de Dubaï, Sheikh Rashid, a été interrogé sur l’avenir de son pays, et il a répondu: “Mon grand-père est monté à dos de chameau, mon père est monté à dos de chameau, je conduis une Mercedes, mon fils conduis une Land Rover et mon petit-fils conduis une Land Rover, mais mon arrière-petit-fils va devoir à nouveau monter à dos de chameau ”
    “Pourquoi cela”, – lui a-t-on demandé? Et sa réponse fut: «Les temps difficiles créent des hommes forts, les hommes forts créent des moments faciles. Les temps faciles créent des hommes faibles, les hommes faibles créent des moments difficiles. Beaucoup ne le comprendront pas mais il faut élever des guerriers, pas des parasites ».

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