C’est officiel : Klaus Schwab quitte la présidence du Forum économique mondial, cet événement mondialisé où les élites se congratulent pendant que le monde brûle. Et pour prendre la relève ? Peter Brabeck-Letmathe, l’homme qui dirigeait Nestlé pendant les années où la multinationale pompait l’eau à tour de nappe pour la revendre en plastique.
Oui, vous avez bien lu : à la tête du plus grand forum planétaire de réflexion sur l’avenir du monde, on a mis un type qui ne croit pas que l’eau soit un droit humain.
C’est beau, le progrès.
De l’eau gratuite à l’eau privatisée : Davos passe en mode « capitalisme total »
Peter Brabeck-Letmathe, dans le documentaire We Feed the World, n’y allait pas par quatre chemins :
« L’eau ne devrait pas être considérée comme un droit. C’est un produit, avec une valeur marchande. »
Traduction ?
Tu veux boire ? Paie.
Tu veux vivre ? On en discute.
Le nouveau patron de #Davos Peter Brabeck-Letmathe, mentor de #Macron et ex-PDG de Nestlé, estimait quand il officiait à la tête du groupe alimentaire « que l’idée que tout être humain doit avoir accès à l’eau est une solution extrême » !
— Florian Philippot (@f_philippot) April 22, 2025
Il « préfère que l’eau ait une valeur… pic.twitter.com/5fplbGj1KZ
Cet homme-là est donc désormais président par intérim du Forum économique mondial, le club des puissants qui décide, entre deux petits-fours, de la feuille de route du reste de l’humanité. C’est un peu comme confier la défense des forêts à un vendeur de tronçonneuses.
Klaus Schwab, c’était déjà du lourd… mais là, on touche le fond (et on pompe la nappe)
Klaus Schwab avait déjà posé les bases :
- gouvernance algorithmique,
- monde sans propriété,
- « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » (surtout eux).
Mais avec Brabeck, on entre dans une nouvelle dimension : celle où même ton verre d’eau devra passer par le conseil d’administration. Nestlé, sous sa houlette, c’était le symbole du business de l’eau privatisée, de la nature monétisée, de la morale évaporée.
Désormais, ce n’est plus « Davos, think tank du futur », c’est « Davos, robinet fermé pour les gueux ».
L’avenir selon Davos : l’eau en option, la vie en supplément
On te parle d’un monde durable, mais ce monde sera surtout rentable — pour ceux qui le dirigent.
Et avec Brabeck aux commandes, le programme est clair :
- on « optimise les ressources »,
- on « valorise les communs »,
- on « transforme les droits en opportunités de marché ».
L’eau ? Une marchandise.
La solidarité ? Une externalité négative.
La planète ? Une start-up à gérer avec des KPI.
Moralité ? Quand le nouveau patron de Davos pense que boire de l’eau gratuitement est une hérésie économique, il est temps de se préparer… à payer pour respirer.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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