Madame-Raleuse.com, l’autrice du moment, ne mâche pas ses mots quand il s’agit de décortiquer les promesses de Macron, qu’elle qualifie avec ironie de « vendeur de rêve », surtout lorsqu’il aborde la question épineuse du prix de l’électricité.
Macron, le vendeur de rêve
Ah, l’incontournable Macron, toujours là pour nous vendre du rêve ! En octobre, il nous promet une « reprise du contrôle du prix de notre électricité ». Parce que, voyez-vous, nos factures d’électricité sont juste une petite plaisanterie à laquelle il faut mettre fin. Et pourquoi donc ? Eh bien, pour que nos entreprises et nos ménages puissent enfin vivre une vie « soutenable ». Parce que, franchement, jusqu’à présent, c’était la fête du slip avec ces prix d’électricité exorbitants.
La compétitivité à la sauce Macron
Il nous parle de compétitivité, comme si nos factures d’électricité étaient en compétition pour être les plus chères d’Europe. Et bien sûr, il veut nous donner « de la visibilité ». Parce que quoi de mieux pour éclaircir notre avenir que de nous dire à l’avance combien on va devoir casquer pour allumer nos ampoules ?
Allez, Macron, on attend tous avec impatience ton annonce en octobre. Peut-être que cette fois-ci, tu réussiras à nous faire croire que contrôler les prix de l’électricité, c’est comme attraper des licornes.
Citation de Madame-Raleuse.com
Macron, le magicien des promesses électrisantes, nous offre un spectacle où contrôler les prix de l’électricité équivaut à chasser des licornes dans le pays des contes de fées économiques.
Exprimez-vous !
Qu’en pensez-vous de ces promesses de Macron concernant le contrôle des prix de l’électricité ? Partagez vos réflexions et vos attentes sur cette question cruciale pour de nombreux citoyens.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Il me met hors de moi!
Et les journaleux subventionnés à outrance, au moins autant!