Bienvenue en France, ce pays magique où, quand l’hôpital s’effondre, on trouve quand même le budget pour subventionner les injonctions hormonales et les bistouris identitaires. Parce qu’il faut croire que « se sentir bien dans son genre » vaut plus qu’un traitement contre le cancer ou un passage en réa.
Transition de genre : priorité nationale pendant que l’Assurance maladie se vide
La Haute Autorité de Santé (HAS), toujours au sommet du progressisme sponsorisé, vient de réclamer… tenez-vous bien… davantage de “prise en charge” des parcours de transition de genre. Comprendre : plus d’hormones, plus d’actes chirurgicaux, plus de remboursements. Bref, plus de tout, sauf de limites.
Et pendant ce temps-là ? On dérembourse les traitements contre les cancers. On taille dans les affections de longue durée. On saigne l’hôpital à coups de 5 milliards d’euros.
Vous avez un cancer ? Bon courage. Mais si vous souhaitez devenir “non-binaire avec options réglables”, là, pas de souci, c’est open bar sur les remboursements. Vive la médecine à géométrie identitaire variable !
La santé publique ou la santé woke ?
Dans ce pays où les services d’oncologie ferment faute de personnel, la HAS priorise les transitions hormonales et le remboursement de chirurgies plastiques à visée identitaire. On n’a plus les moyens de faire une IRM sans 6 mois d’attente, mais on finance à tour de bras des double mastectomies sur des mineurs mal dans leur peau. Oui, vous avez bien lu : des mineurs.
Et attention, il ne s’agit pas d’une lubie isolée. C’est un choix politique assumé : on dérembourse ce qui soigne, on finance ce qui “valide” l’identité perçue. Et si vous osez critiquer, c’est que vous êtes un·e facho·e.
5 milliards retirés à l’hôpital, des médicaments déremboursés : mais tout va bien
La France de 2025, c’est ça :
- 5 milliards d’euros de coupes dans le budget hospitalier.
- Des médicaments efficaces déremboursés, faute de moyens.
- La fin du remboursement intégral de certaines affections de longue durée.
- Des services entiers qui ferment, des urgences saturées.
Mais on vous rassure : la prise en charge des transitions de genre, elle, va s’améliorer. Et c’est la Haute Autorité de Santé qui le dit. Ne riez pas, c’est sérieux.
La santé publique prise en otage par une idéologie
Alors oui, on pourrait débattre de la place des parcours de transition dans le système de santé. Mais quand ils deviennent plus prioritaires que les cancers, que les maladies cardiaques ou que les soins palliatifs, on sort de la médecine, et on entre dans l’absurde idéologique.
Et pendant que les malades chroniques, les personnes âgées et les enfants cancéreux galèrent à avoir des soins, certains politiques nous vendent leur fierté d’avoir un système “inclusif”.
À ce niveau, ce n’est plus de la santé. C’est du sabotage organisé.