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Bienvenue dans une France où même les projets en devenir créent des remous, et où la polémique est toujours à deux pas de la réalité. La Haute Autorité de Santé (HAS), après une fuite regrettable de documents de travail confidentiels sur la transition de genre, est en pleine ébullition. Mais derrière ces fuites se cache une vérité troublante : si certains bruits courent, l’expérience nous a souvent montré qu’ils ne sont pas très éloignés de la réalité.

La transition de genre : priorité ou poudre aux yeux ?

Dans un pays où se soigner les dents ou les yeux relève presque d’un luxe réservé aux mieux lotis, la HAS planche sur des recommandations pour structurer le parcours de transition de genre. Et bien que rien ne soit officiellement acté, certaines fuites laissent entendre une prise en charge élargie, gratuite et accélérée dès l’âge de 16 ans, avec des procédures simplifiées.

Faut-il rappeler que la Sécurité sociale souffre déjà de vertiges financiers, oscillant entre franchises médicales augmentées et déremboursements en cascade ? Pendant ce temps, voilà qu’on pourrait y ajouter des traitements hormonaux et des chirurgies coûteuses, le tout pour satisfaire des pressions idéologiques plutôt que des priorités sanitaires.

Mais qui paiera la note ?

Spoiler : vous, nous, tout le monde. Si la Sécu titube déjà comme un funambule sur une corde effilochée, faut-il vraiment lui rajouter des charges supplémentaires ? Rappelons que pendant ce temps, des millions de Français renoncent à des soins essentiels.

Et ne vous méprenez pas, ces recommandations, qui pour le moments ne sont qu’à l’étude, ne se contentent pas de structurer un parcours. On parle d’envisager des prescriptions hormonales facilitées par des généralistes et d’éventuelles interventions chirurgicales « sans délais excessifs ». Oui, car apparemment, obtenir une chirurgie de réassignation serait plus simple qu’un rendez-vous chez l’ophtalmo.

HAS, polémique et écran de fumée

La HAS a beau s’indigner de la divulgation de documents confidentiels, l’histoire nous apprend que derrière chaque fuite se cache une part de vérité. Certes, rien n’est définitif, et les recommandations finales ne seront publiées qu’au premier semestre 2025. Mais la méthode est bien là : des allers-retours entre groupes d’experts, relectures critiques et validations à n’en plus finir.

Et pourtant, la fuite d’un document de travail en ce mois de décembre met déjà le feu aux poudres. Alors que des pays comme la Suède ou la Finlande adoptent une approche plus prudente sur ces sujets, la France semble foncer tête baissée, tout comme l’Allemagne, portée par un vent idéologique.

Idéologie woke : un naufrage collectif déguisé en progrès

Pourquoi cette précipitation ? Pour satisfaire une minorité bruyante et donner des gages à une idéologie progressiste qui ne se préoccupe guère des conséquences économiques et sociales. Pendant ce temps, les vrais besoins, eux, sont relégués au second plan : des enfants sans lunettes, des parents incapables de payer des soins dentaires, et des retraités forcés de choisir entre manger ou se chauffer.

Mais au moins, nous pourrons afficher fièrement notre drapeau inclusif. Après tout, qui a besoin d’un système de santé fonctionnel quand on peut revendiquer une transition de genre express made in France ?

Citation de Madame-Raleuse.com

Franchises médicales augmentées, soins déremboursés… mais la transition de genre, c’est cadeau !

Exprimez-vous !

Sommes-nous face à un naufrage collectif annoncé ? Ou au contraire, est-ce une avancée sociétale incontournable ? Partagez votre avis et débattons : qui paiera la facture de cette nouvelle priorité ?

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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