Alors que l’électrification forcée avance à grands pas, nombreux sont ceux qui s’opposent à cette transition. Les moteurs thermiques disparaissent, mais à quel prix ? Stellantis, groupe automobile géant, a annoncé que Peugeot sera entièrement électrique d’ici 2030. Une décision qui alimente la controverse, surtout à l’heure où les factures d’électricité explosent et où le prix du mégawattheure annoncé dans le budget 2025 de François Bayrou inquiète.
Une électricité de plus en plus chère : un pari risqué
Les gouvernements promeuvent la voiture électrique comme une solution écologique, mais ils passent sous silence les catastrophes environnementales qu’elle engendre, notamment pour les peuples indonésiens exploités pour l’extraction des minerais nécessaires aux batteries.
De plus, la hausse constante des prix de l’électricité et l’autonomie limitée des véhicules remettent sérieusement en question cette logique. Avec un mégawattheure dont le coût annoncé dans le budget 2025 grimpe en flèche, les automobilistes pourraient bientôt regretter le bon vieux plein d’essence, jugé cher, mais bien plus prévisible que l’électricité. Une électrification imposée, sans garantie de stabilité des coûts énergétiques ni véritable alternative pour les consommateurs, risque de devenir un gouffre financier bien plus qu’une avancée écologique. Et pendant ce temps-là, les vendeurs de groupes électrogènes se frottent les mains.
Peugeot 100 % électrique : un choix dicté par Bruxelles et la rentabilité
Stellantis, propriétaire de Peugeot, a confirmé que tous ses modèles seront électriques d’ici 2030. Officiellement, la décision est motivée par des raisons environnementales et la conformité aux normes européennes. Officieusement, il s’agit surtout d’une question de rentabilité : produire des moteurs thermiques devient trop coûteux avec les nouvelles normes Euro 7, et les marges sur les véhicules électriques sont bien plus élevées. Moins de pièces, moins d’entretien, et surtout, plus de contrôle sur les options via des abonnements payants. Et si jamais l’électronique lâche en pleine autoroute, vous pourrez toujours essayer de souffler sur la batterie pour la recharger. Ou si par malheur vous faites un accident, l’achat d’un nouveau destrier deviendra obligatoire
Les consommateurs en colère : et si on refusait cette transition imposée ?
De nombreux automobilistes dénoncent une transition forcée, poussée par des intérêts économiques plus que par une réelle volonté écologique. La hausse des prix de l’électricité, la dépendance aux batteries chinoises, et le manque d’infrastructures de recharge rendent le passage à l’électrique plus compliqué que prévu.
Le risque ? Une fracture entre ceux qui peuvent s’offrir une voiture électrique et ceux qui devront continuer avec des véhicules thermiques de plus en plus taxés. Et si les constructeurs et les gouvernements sous-estimaient la résistance des consommateurs à cette transformation radicale ? À moins que la prochaine innovation soit une voiture à pédales, histoire de vraiment sauver la planète.
🚘 Êtes-vous prêt à passer à l’électrique malgré la flambée des prix de l’électricité ?