On l’avait pressenti, on l’avait murmuré, mais aujourd’hui, plus de doute : l’Organisation mondiale de la Santé, de plus en plus contestée, est remise en cause par la Russie. L’Organisation mondiale de la Santé n’a plus grand-chose de « mondiale » ni même de « santé ». En réalité, l’OMS est en passe de devenir la succursale privée d’un philanthrope visionnaire : Bill Gates, l’homme qui voulait absolument sauver l’humanité… à condition que ça lui rapporte un petit quelque chose.
Pourquoi la Russie veut-elle enquêter sur l’OMS et Bill Gates ?
Après les États-Unis et l’Argentine, c’est au tour de la Russie de se poser la question : faut-il encore rester dans cette grande mascarade qu’est l’OMS ? Selon RT France, Piotr Tolstoï, vice-président de la Douma, a pris la parole pour demander une enquête sur les activités de l’organisation dans son pays. Et soyons honnêtes, la question qu’il pose mérite qu’on s’y attarde : « Pourquoi s’accrocher à une organisation qui appartiendra bientôt entièrement à un homme à la réputation douteuse en matière de santé publique ? »
Douteuse ? C’est le moins qu’on puisse dire ! Entre sa passion pour les vaccins, ses investissements dans les labos pharmaceutiques et son implication dans l’Alliance pour les vaccins (GAVI), Bill Gates ne joue pas seulement au bienfaiteur de l’humanité. Il est aussi, accessoirement, celui qui finance à hauteur de 1,3 milliard de dollars l’OMS. Et comme dirait l’autre, « qui paie, commande ».
L’OMS : une organisation « indépendante »… mais pas trop
Si l’OMS était une entreprise privée, on crierait au conflit d’intérêts. Mais comme c’est une noble organisation internationale, on nous demande d’y voir une coïncidence. Plus de 80 % du budget de l’OMS vient de contributions volontaires, majoritairement issues de donateurs privés comme la Fondation Gates. En d’autres termes, ce n’est pas vraiment une organisation dirigée par les États, mais plutôt par ceux qui ont le chéquier bien garni.
Le problème, c’est que ce n’est pas juste une histoire de gros sous. Quand un investisseur met des milliards dans un projet, il ne le fait pas pour la beauté du geste. Il veut avoir son mot à dire. Et étrangement, les recommandations de l’OMS finissent souvent par coïncider avec les intérêts de ses généreux donateurs. Comme par exemple ces magnifiques campagnes de vaccination financées par… tiens donc, les mêmes personnes qui vendent les vaccins.
Un monde sous contrôle sanitaire (et financier)
Avec ce modèle économique, l’OMS est devenue une entreprise comme une autre, avec des actionnaires de luxe. Résultat ? Les pays commencent à se rendre compte qu’ils n’ont plus leur mot à dire. L’Argentine a claqué la porte. Trump, fidèle à lui-même, a signé un décret pour dire au revoir à l’organisation. Et maintenant, la Russie se demande si elle doit suivre le mouvement.
Imaginez un instant : un monde où l’OMS serait entièrement aux mains de mécènes « désintéressés ». On aurait droit à des pandémies éternelles, des recommandations sanitaires sur mesure et bien sûr, des solutions médicales toutes trouvées (et brevetées). Un jackpot pour les industriels, un cauchemar pour les citoyens.
Conclusion : bientôt une OMS rebaptisée « Gates & Co. » ?
Alors, la Russie va-t-elle sauter le pas et quitter cette belle organisation ? Va-t-on bientôt voir émerger une « nouvelle OMS », moins inféodée aux grandes fortunes et plus transparente ? On peut toujours rêver.
En attendant, la situation actuelle nous rappelle une chose : l’OMS ne protège plus vraiment la santé publique, elle protège surtout les investissements de ses bienfaiteurs. Mais bon, on va dire que c’est pour notre bien, hein ?
Et vous, pensez-vous que la Russie quittera l’OMS comme les États-Unis et l’Argentine ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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