Ah, la vache ! Littéralement. Après les vaccins pour les humains, voici venu le temps des injections pour le bétail, mais pas pour leur éviter une quelconque maladie. Non, cette fois, il s’agit de limiter leurs flatulences. Oui, vous avez bien lu. Selon Cnews, des chercheurs se penchent sérieusement sur un vaccin destiné à réduire les émissions de méthane des bovins. Parce que manifestement, dans la lutte contre le réchauffement climatique, le pet de vache est devenu l’ennemi public numéro.
Un projet financé par les géants du climat
Si vous pensiez que la recherche scientifique avait d’autres priorités, détrompez-vous ! Le Pirbright Institute au Royaume-Uni, avec l’aide du Royal Veterinary College et d’AgResearch en Nouvelle-Zélande, bénéficie d’un financement de 9,4 millions de dollars du Bezos Earth Fund. Un fonds lancé par Jeff Bezos, le même milliardaire dont les jets privés et les livraisons en 24h pèsent lourd sur l’environnement. Ironie du sort, non ? On pourrait se demander si cette somme n’aurait pas été mieux investie ailleurs. Mais visiblement, il est plus stratégique de vacciner des vaches que de s’attaquer aux industries polluantes ou aux transports aériens. Une vraie révolution verte financée par ceux qui carburent au kérosène
Comment fonctionne le vaccin anti-méthane pour bovins ?
L’idée est de développer un vaccin administré dès le plus jeune âge des veaux, qui empêcherait les bactéries de leur rumen (l’un de leurs quatre estomacs, rien que ça) de produire du méthane. Un seul problème : l’environnement du rumen est un véritable champ de bataille où les réponses immunitaires ne fonctionnent pas toujours comme prévu. Mais qu’importe, l’important, c’est d’essayer ! Et puis, si jamais ça ne marche pas, il restera toujours la solution des bouchons anti-méthane…
Les vaches, principales émettrices de méthane : faut-il paniquer ?
Au cas où vous auriez raté un épisode, les vaches sont officiellement responsables d’un tiers des émissions de méthane d’origine humaine, et ce gaz serait 28 fois plus puissant que le CO2. Vous croyiez que les industries polluantes étaient le vrai problème ? Détrompez-vous, c’est votre steak qui nous emmène droit vers la catastrophe !
Pendant ce temps, certaines fermes testent déjà des additifs alimentaires censés réduire ces émissions, mais leur efficacité est variable et leur utilisation complexe pour les élevages en plein air. Alors, un vaccin, pourquoi pas ? Tant que personne ne vient nous dire dans cinq ans que les vaches vaccinées deviennent allergiques au trèfle.
Un défi scientifique et politique pour le vaccin bovin
Outre les obstacles biologiques, il reste un léger détail à régler : convaincre les éleveurs et les consommateurs que vacciner une vache contre ses propres pets est une avancée révolutionnaire. On a déjà vu ce que donnait la panique autour de certains additifs comme le Bovaer, alors imaginez la réaction du grand public face à une « vache OGM sans gaz ».
Finalement, la vraie question n’est pas de savoir si ce vaccin va marcher, mais plutôt si l’obsession de vouloir tout contrôler, même les gaz des vaches, ne va pas trop loin. Qui sait, bientôt, on interdira aux humains de manger des haricots pour éviter de perturber le climat ?
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Il ferait bien de réduire leur bêtise !