Bienvenue dans le merveilleux monde de l’économie française version 2025. Un monde où 354 plans sociaux peuvent s’accumuler dans un silence plus glacial qu’un entrepôt Amazon à 3h du matin, pendant que 220 000 emplois prennent la porte en toute discrétion… (source : Fakir) Sans bruit, sans fureur. Juste le doux cliquetis des dividendes qui pleuvent comme du champagne à la table des actionnaires.
Les ouvriers trinquent, les actionnaires sabrent
Prenons l’exemple d’Owens-Illinois, géant du verre. 2 200 salariés en France ? Bientôt un mauvais souvenir. Le site de Vayres ? Allégé de 81 âmes. Celui de Vergèze ? Fermé. 164 travailleurs licenciés comme on vide une poubelle. Et pourquoi ? Parce que la concurrence, voyons. C’est devenu la punchline préférée des DRH : « C’est pas nous, c’est la mondialisation. »
Et pendant qu’on ferme un site stratégique qui fabrique du verre – oui, celui qu’on nous vend comme l’alternative verte au plastique polluant – on se gave de dividendes. 98,2 milliards d’euros versés aux actionnaires en 2024. C’est beau, non ? Presque aussi poétique que de voir la Picardie perdre 80 000 emplois industriels en 30 ans.
Trump fait la guerre commerciale, la France sabre son industrie
Donald Trump relance la guerre commerciale ? Breaking news sur tous les plateaux. La France perd 100 000 emplois au dernier trimestre ? Ah pardon, on était trop occupés à débattre de la longueur de la robe d’une candidate LFI.
Et pendant que l’extrême droite s’incruste dans les usines comme un recruteur de télé-réalité, la gauche reste coincée en brainstorming existentiel. Résultat : les ouvriers votent pour celui qui parle d’eux, même s’il vend du mensonge en kit.
Le plan social permanent : notre nouveau modèle économique
2025 s’annonce comme une année bénie pour les fossoyeurs de l’emploi : 354 plans sociaux recensés, soit l’équivalent d’une ville entière qui se fait licencier… tous les trois jours. Mais pas d’inquiétude, le CAC 40 va bien, merci. Et pendant que les patrons pratiquent le yoga fiscal dans des paradis tropicaux, les Français, eux, se demandent s’ils vont pouvoir payer leur plein ou leur psy.
Mais chut. Il ne faut pas trop en parler. Ça pourrait faire de l’ombre à la dernière polémique TikTok ou au casting de la Star Ac’. La guerre économique ? C’est moins vendeur que la guerre des tweets.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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