La France, grande championne de la récession : quand l’économie joue les derniers de la classe

Ah, la France ! Patrie du camembert, des grèves et… de la récession économique. Alors que l’Allemagne, pourtant pas en grande forme, commence à remonter la pente, la France, elle, s’accroche fièrement à son statut de lanterne rouge de l’économie mondiale. Pour le quatrième mois consécutif, le pays affiche une croissance en berne, un taux de chômage en réalité bien plus élevé que ce qu’on nous annonce et une dette publique qui enfle plus vite qu’un ballon de baudruche. Mais rassurez-vous, tout va bien, on vous le promet !

Chômage : magie des chiffres et illusions comptables

Marc Touati nous l’explique chiffres à l’appui : l’INC (Institut National de Camouflage) nous annonce fièrement que le taux de chômage de catégorie A a baissé à 7,3 %. Hourra ! Sauf que si on regarde toutes catégories confondues, LE chômage grimpe à 16,6 %. Petit problème d’arithmétique ou simple exercice de prestidigitation gouvernementale ? Allez savoir. Eurostat, de son côté, affiche un taux plus proche de la réalité : 7,8 %, en hausse. Mais chut, faut pas le dire trop fort.

La dette publique, ce trou noir économique

Depuis 2019, la dette publique a pris 915 milliards d’euros dans la face, pendant que le PIB, lui, n’a grimpé que de 469 milliards. Un petit décalage de 446 milliards qui, bien sûr, ne préoccupe personne. Vous reprendrez bien une petite augmentation des dépenses publiques en 2025 ? Encore +41 milliards prévus au programme. Après tout, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

Les marchés boursiers vont bien ? Tant mieux, mais ça ne sert à rien

Pendant que les chiffres du PIB font pleurer dans les chaumières, la Bourse, elle, affiche une belle progression. Le CAC 40 s’accroche aux 8000 points, comme si de rien n’était. Sauf qu’avec des entreprises qui font la majorité de leurs profits à l’étranger et une économie nationale en déliquescence, ça fait un peu déconnexion totale. Mais tant que les actionnaires sont contents…

L’or : valeur refuge ou simple aveu d’échec ?

Avec une économie en vrac et des tensions géopolitiques à foison, l’or grimpe en flèche, flirtant avec les 3000 dollars l’once. Preuve que tout va bien, non ? D’ailleurs, il n’y a pas de raison de paniquer, on vous dit que la croissance mondiale est solide… Enfin, si on ferme les yeux sur la Chine qui tousse, l’Allemagne qui doute et la France qui coule.

Conclusion : serrons les dents et attendons que ça passe (ou pas)

En attendant que nos énarques trouvent la formule magique pour inverser la tendance (spoiler : ça n’arrivera pas), il va falloir prendre son mal en patience. On pourrait réduire les dépenses de fonctionnement ? Trop simple. On pourrait baisser les impôts et encourager l’emploi ? Trop évident. Alors on continue comme avant, en espérant que ça tienne encore un peu. Accrochez-vous, la descente continue.

Merci à Marc Touati pour son analyse sans langue de bois, qui permet de mieux comprendre comment la France réussit l’exploit d’être la lanterne rouge de l’économie mondiale.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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Un commentaire sur « La France, grande championne de la récession : quand l’économie joue les derniers de la classe »

  1. Cest grave docteur ? Quoi ! Vous avez dit quoi ? On a attrapé la Pibomanie exubérante ? Mais rassurez moi docteur, ça se soigne ? Mais oui mon bon, pas de crainte. Tout est prévu ! Nous avons le remède ! Ah le nom est compliqué, mais ça soigne aussi la dettotamie immédiatement ! Et il s’appelle comment ce remede miracle docteur ? C’est une injection Arnm de l’ensemble des économies des français… ou en abrégé : le EDFcondoprane ! Ah docteur merci. Me voila rassuré !….

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