Bruno Le Maire, ministre fantôme de l’économie zombie, ressuscite la dette commune et l’euro numérique comme si on lui avait demandé

Il n’est plus ministre, mais il cause encore. Bruno Le Maire, alias le Nostradamus du déficit, revient hanter l’économie européenne avec ses idées recyclées : dette mutualisée, euro numérique et… illusions collectives.

Mais qui a rebranché le micro de Bruno Le Maire ? On pensait avoir tourné la page, rangé le dossier à côté du pass sanitaire et des chèques carburant. Et voilà que l’ancien ministre de l’Économie, visiblement en manque d’estrade, revient poser ses idées comme un ex toxique qui t’envoie un « coucou, tu me manques » à 2h du matin.

Oui, Bruno parle encore. Et il ne parle pas pour dire bonjour.

Non. Monsieur refait l’Europe à lui tout seul, entre deux tweets sur X (ex-Twitter, ex-réseau social civilisé, ex-civilisation tout court). Au programme : mutualisation des dettes publiques européennes, relance de l’euro numérique, et appel vibrant à « faire de l’euro une monnaie de référence mondiale ». Rien que ça. Le mec a quitté le gouvernement mais visiblement pas le Cloud de la BCE.

La dette ? Mutualisons, comme les erreurs de Brune

L’idée ? Que chaque pays partage gentiment ses dettes au-delà de 50 % du PIB, histoire de créer un grand pot commun pour faire joli sur les marchés. Une sorte de cagnotte Litchi de la dette. Mais sans date de fin. Ni remboursement probable.

Traduction : la France est à la ramasse, alors on espère que l’Allemagne, les Pays-Bas ou la Finlande vont mettre un billet dans le panier. En échange, on leur offre un rêve : rivaliser avec le dollar. Spoiler : le roi dollar n’a pas de souci d’orthographe sur ses billets et ses dirigeants ne confondent pas monnaie unique avec monnaie unique de pensée.

Un euro numérique pour « moins dépendre » des Américains ?

Ah, le numérique… cette baguette magique pour ex-ministre désœuvré. Bruno propose donc d’accélérer la mise en place de l’euro digital, censé nous libérer de l’emprise des vilains Visa et Mastercard. Parce que bien sûr, rien ne crie indépendance comme un wallet numérique surveillé par la BCE, qui pourra geler ton compte parce que t’as osé payer une baguette en liquide.

L’indépendance, selon Bruno, c’est remplacer une dépendance privée (américaine) par une dépendance publique (européenne). Avec en bonus, une surveillance accrue, des plafonds de paiements rigides, et un QR code dans chaque slip.

Bruno, ça suffit maintenant

Cher Bruno, on va être cash (tant qu’on peut encore) : personne ne t’a demandé de refaire l’économie mondiale. Tu n’es plus ministre, et l’euro n’a pas besoin d’un porte-parole freelance avec nostalgie de Bercy.

Tu veux vraiment renforcer l’euro ? Commence par arrêter de parler. Laisse les dettes là où elles sont. Et surtout : range ce tweet, Bruno. C’est gênant.

💬 Et vous, vous préférez la dette partagée façon Bruno ou un bon vieux bas de laine bien planqué ? Répondez pendant qu’on a encore le droit de penser en dehors du cloud BCE.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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