L’ANSES enterre le soja : les « réactionnaires complotistes » avaient donc finalement raison sur les « hommes-soja » ?

Oyez, oyez, braves mangeurs de quinoa et adeptes de steaks végétaux, l’heure de vérité est arrivée ! L’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES), cette entité pourtant si raisonnable et politiquement correcte, a finalement jeté un pavé (bio, évidemment) dans la mare verte des écologistes en conseillant aux cantines d’arrêter net de servir ces si vertueux produits au soja. Pourquoi cette trahison inattendue ? Tout simplement parce que ce brave soja, chéri des militants écolos en Birkenstocks, contiendrait d’inquiétantes hormones végétales – ces fameuses isoflavones – capables de dérégler votre système hormonal, rien que ça.

Soja et hormones féminines : le grand complot était donc scientifique

Mais oui, messieurs-dames, ces phyto-œstrogènes ressemblent étrangement à des hormones féminines et peuvent perturber la reproduction, selon les experts. Oh, bien sûr, le docteur Aymeric Dopter, probablement terrifié à l’idée d’être taxé de complicité avec les complotistes réactionnaires, prend toutes les précautions du monde : « Ce n’est pas contre le soja en soi, voyons, juste sa concentration excessive en isoflavones ». (source : Voltaire) Évidemment, tout est question de dose, mais avec 76 % des bambins de 3 à 5 ans et près d’un homme sur deux atteignant les limites toxiques, on est loin de l’anecdotique.

Bientôt la revanche saignante de la côte de bœuf ?

Qu’il est doux de savourer l’ironie du destin ! Pendant des années, le camp du bien nous a expliqué que la viande rouge était le summum du mal écologique et sanitaire. Les barbecues étaient vus comme autant d’autodafés climatiques, et le veganisme présenté comme la seule voie vers la sainteté environnementale. Face à eux, ces caricaturaux « soyboys » raillés par les affreux réactionnaires virilistes. Mais aujourd’hui, retournement de situation : le soja serait-il finalement moins vertueux que la côte de bœuf sanguinolente et odorante sur le grill ?

On imagine déjà le tableau : des militants écolos repentis en pleine reconversion carnivore, se laissant pousser barbe et muscles, arborant fièrement une côte de bœuf bio, locale, équitable et surtout pleine de testostérone naturelle. Les militantes, quant à elles, troqueraient volontiers leur smoothie soja-épinard contre un bon verre de lait – oui, du vrai, issu directement du pis des vaches rustiques. Cette improbable rencontre entre écologie et terroir traditionnel aurait alors une saveur délicieusement ironique.

Bref, à l’heure où la science rejoint curieusement les prédictions des « réactionnaires complotistes », chacun devra choisir son camp : manger sain et équilibré selon la mode du jour, ou revenir à une alimentation ancestrale qui, ô surprise, n’était pas si mauvaise que ça pour l’homme. Comme on dit chez nous, c’est vous qui voyez…

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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