Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

Donald Trump invente le jackpot patriotique : vos dividendes made in China… payés par la Chine (enfin, presque)

Ah, Donald Trump… Toujours là pour transformer la politique économique en télé-achat version XXL. Son dernier pitch ? Taxer les importations étrangères à coups de droits de douane, puis redistribuer les bénéfices aux Américains sous forme de dividendes. Oui, vous avez bien lu : un dividende, comme si chaque citoyen devenait actionnaire de « Trump & Co ».

Le concept

On impose les produits étrangers (devinez qui va morfler ? Oui, l’électroménager, vos iPhones et votre prochain grille-pain made in Shenzhen), et avec les montagnes de cash récoltées, on fait pleuvoir des chèques dans les foyers américains. L’idée, selon Trump, c’est que la Chine paie. Mais en vrai, c’est votre panier de courses qui va sponsoriser le cadeau. Patriotisme oblige.

Le coup de com’

C’est simple : au lieu d’augmenter les impôts (impopulaire), on augmente les prix (invisible, enfin, jusqu’à la caisse). Et quand l’inflation pointera le bout de son nez, on pourra accuser Pékin, Bruxelles ou la pleine Lune.
Le plus fort ? Les Américains pourraient adorer, car qui n’aime pas recevoir un chèque, même s’il a été financé par ses propres achats ? C’est un peu comme se féliciter d’avoir « gagné » un remboursement d’impôts… après en avoir trop payé toute l’année.

Et si on importait l’idée en France ?

Imaginez Emmanuel Macron annonçant : « Chaque baguette importée de Belgique rapportera 1 € à tous les Français ! » Résultat : le prix du pain double, mais tout le monde sourit en recevant un virement de 50 centimes. Magique.

Conclusion

Trump ne vend pas seulement un programme économique, il vend un rêve : celui d’un pays où on se verse des dividendes avec ses propres dépenses, tout en croyant que l’ennemi paie la facture. La finance comportementale appelle ça un biais cognitif. Moi, j’appelle ça du génie marketing.

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