Tu achètes une voiture électrique – la grande aventure de l’automobiliste patient

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Ah, la voiture électrique ! Le Saint Graal des écolos et des amoureux de Dame Nature. Sauf qu’en réalité, quand tu te lances dans l’électrique, c’est surtout une masterclass de patience et de résilience. Madame-Raleuse.com vous raconte l’épopée d’un automobiliste coincé entre bornes hors service et autonomie en carton. Prêt pour une plongée dans le quotidien d’un héros moderne ? Installez-vous confortablement, mais pas trop longtemps… contrairement à lui.

Une Mégane e-Tech, ou plutôt une mégane « tech-pas-de-bornes »

Imagine, tout commence avec un rêve : rouler propre, sauver la planète et prouver que toi aussi, tu peux être écolo chic. Alors, tu craques pour une Mégane e-Tech. Sur le papier ? 350 km d’autonomie. Dans la vraie vie ? 100 km et un arrêt d’urgence. Ah non, pardon : un arrêt d’urgence SANS borne à proximité.

Résultat : à chaque trajet, tu es un GPS humain qui traque des bornes comme si ta vie en dépendait. Et spoiler : ça ne marche jamais. Tiens, notre ami du jour, il avait 3 % de batterie, a cherché une borne pendant 5 km et a fini par en trouver une. Heureux ? Pas vraiment : une heure et 45 minutes pour atteindre péniblement 80 %. Et encore, il n’est pas sûr d’avoir rechargé autant que ça. Une vie d’incertitude !

Les fossiles rigolent, l’électrique galère

Et pendant ce temps-là, le gars d’à côté remplit son réservoir en 3 minutes chrono. Une trentaine d’euros, un plein d’essence, et hop, le voilà reparti pour 500 km sans une goutte de sueur. Pendant que toi, tu sera là, assis, ton café froid à la main, à fixer le ciel en priant pour que les 80 % de batterie ne te laissent pas tomber avant ton arrivée.

Et parlons du trajet : 350 km prévus. Facile, non ? Pas en électrique ! Notre cher automobiliste parti à 21 heures, il espère arriver… à 1 heure du matin. Non pas à cause d’un embouteillage, mais bien parce qu’il passe plus de temps à attendre qu’à rouler. Une véritable odyssée moderne. Ulysse avait les sirènes ; toi, tu as les bornes hors service.

Rouler électrique, une philosophie (de survie)

Donc, voilà le topo : si tu veux rouler électrique, il faut du temps, du zen, et une passion inexplicable pour les aires de recharge. Pas pressé d’arriver ? Ça tombe bien, parce que ton trajet prendra deux à trois fois plus de temps qu’en thermique. Et encore, ça, c’est quand les bornes fonctionnent.

Alors, amis automobilistes, réfléchissez bien avant de succomber au charme de l’électrique. Parce que quand même, ce n’est pas donné à tout le monde de transformer un simple trajet en périple digne des plus grands road trips… à 60 km/h, entre deux pannes et trois stations désertes.

Citation de Madame-Raleuse.com

Rouler électrique ? Plus long qu’un péplum, moins fiable qu’une boussole au pôle Nord !

Exprimez-vous !

Et vous, êtes-vous prêt à attendre 1h45 pour faire 80 % de charge ou préférez-vous une voiture qui roule vraiment ? Dites-nous en commentaire si vous êtes team électrique ou team fossile !

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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