Paul Watson libéré : Quand défendre les baleines devient un crime international

Paul Watson, défenseur des océans et des baleines, a enfin été libéré après cinq mois de détention. (source : Le Point) Madame-Raleuse.com revient sur ce scandale où sauver les baleines semble plus grave que les massacrer.

Libéré, délivré… Paul Watson reprend le large !

Mesdames et messieurs, arrêtez tout : Paul Watson, le justicier des océans, vient de retrouver sa liberté. Et non, ce n’est pas grâce à une intervention divine mais grâce à la justice danoise, qui a fini par comprendre qu’il était légèrement abusé d’extrader un homme pour des faits datant de l’époque où on écoutait encore Lady Gaga en boucle.

Imaginez la scène : Paul Watson, 74 ans, en pyjama rayé dans sa cellule groenlandaise, coincé depuis juillet pour avoir osé déranger les gentils baleiniers japonais. Oui, parce qu’apparemment « dénoncer un massacre industriel camouflé en recherche scientifique », c’est un crime digne d’un James Bond des années 2010. Heureusement, le Danemark s’est dit que cinq mois à méditer entre deux blocs de glace, ça suffirait pour calmer les ardeurs du vétéran des mers.

Un crime contre l’industrie de la chasse « scientifique » ?

Reprenons l’affaire : Paul Watson a été arrêté grâce à une notice rouge d’Interpol vieille de 12 ans. Pourquoi si longtemps ? Peut-être parce que Tokyo attendait que tout le monde oublie la différence entre « sauver les baleines » et « sauver l’économie de la soupe de baleine ». En 2010, notre cher Watson s’était permis de perturber un navire-usine flambant neuf. Bah oui, intercepter un baleinier, ça mérite apparemment une notice rouge, comme si Paul Watson était le prochain Pablo Escobar des fonds marins.

Le Japon en PLS

Tokyo doit être ravi. Le Danemark a choisi de ne pas jouer les complices d’une extradition qui ressemble plus à une vengeance froide qu’à une véritable justice. D’ailleurs, petite leçon : quand un acte date de plus de 14 ans, il ne pèse pas bien lourd face aux accusations actuelles qui remplissent les prisons pour des faits autrement plus graves. Alors, après avoir retourné les codex juridiques, la cour danoise a dit non. Et non, ce n’est pas parce que le Groenland manque cruellement de cellules pour militants trop célèbres, mais bien par respect pour les procédures un tant soit peu logiques.

Retour à la maison avec les enfants

Paul Watson rentre donc au bercail, chez lui, en France. On imagine déjà le titre de sa prochaine campagne : « Libéré des glaces, toujours pourchassé par les cétophages nippons ». À 74 ans, notre militant va pouvoir reprendre sa lutte pour la planète. Ce qui est aussi, paraît-il, un « combat pour l’humanité et la justice ». Sauf que l’humanité, elle, est souvent trop occupée à scroller des vidéos de chats ou des tutos TikTok pour s’en rendre compte.

Allez, bienvenue à la maison, Paul. Entre deux plateaux télé, n’oubliez pas de respirer un peu d’air frais : à force de vouloir sauver les baleines, on oublie parfois de s’occuper de soi. Mais que voulez-vous, les héros sont comme ça. Ils dérangent, ils dérivent, mais ils finissent toujours par revenir.

Et pendant ce temps, dans les océans, les baleines poussent un petit cri de soulagement : « Il est de retour ! »

Citation de Madame-Raleuse.com

Sauver des baleines est un crime, mais les massacrer, c’est de la science ?

Exprimez-vous !

Depuis quand protéger la planète est-il plus condamnable que la détruire ? Exprimez-vous : héros ou hors-la-loi, où placez-vous Paul Watson ?

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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