Trump annule les quotas de voitures électriques

Donald Trump n’a pas perdu de temps pour marquer son retour à la Maison-Blanche. Dès le 20 janvier 2025, jour de son investiture, il a signé une série de décrets, dont un destiné à mettre fin aux « quotas de voitures électriques » et selon le média « français » 20 Minutes ce quotas imposés par Joe Biden n’a jamais vraiment été imposé. Petit problème : ces quotas n’ont jamais existé. Biden n’avait émis qu’une recommandation visant à atteindre 50 % de ventes de véhicules électriques d’ici 2030. Mais pourquoi s’embarrasser de détails quand on peut faire un coup d’éclat ?

Une mesure qui brille par son absurdité

Trump avait martelé durant sa campagne qu’il combattrait de front les « restrictions absurdes » de son prédécesseur. Résultat : un décret pour abolir une règle qui n’a jamais été en vigueur. Ce n’est pas la première fois que l’ancien président fait preuve d’un certain talent pour l’effet d’annonce. Mais cette décision a tout de même des conséquences réelles, notamment sur le développement des infrastructures de recharge.

Stop au financement des bornes de recharge

L’un des volets concrets de ce décret concerne l’arrêt immédiat du soutien fédéral aux infrastructures de recharge pour véhicules électriques. Lancé en 2021, le plan de Biden prévoyait l’installation de 500 000 bornes à travers les États-Unis, avec un budget de 7,5 milliards de dollars. Désormais, ce projet est suspendu. Une décision qui réjouit sans doute Elon Musk : avec son réseau de superchargeurs Tesla, il est bien placé pour profiter de ce vide laissé par l’État.

Une victoire déguisée pour Musk ?

En privant les futurs conducteurs de véhicules électriques d’un réseau public de recharge, Trump renforce indirectement le monopole de Tesla. Depuis quelques années, Elon Musk ouvre son réseau de superchargeurs à d’autres marques, générant des revenus substantiels grâce aux abonnements. Alors, coïncidence ou stratégie bien pensée ? Difficile de ne pas se poser la question.

Conclusion

Donald Trump, fidèle à lui-même, mélange effets d’annonce et décisions discutables. Si sa volonté de saboter les initiatives pro-électriques de Biden est claire, son impact reste flou. En attendant, Elon Musk semble être le grand gagnant de ce premier coup d’éclat du second mandat Trump.

Citation de Madame-Raleuse.com

Avec Trump, le marché des voitures électriques passe de l’autoroute à une route pleine de dos d’âne.

Exprimez-vous !

Que pensez-vous de cette mesure de Donald Trump ? Est-ce un frein au développement des véhicules électriques ? Et si l’Europe suivait la même ligne de conduite ? Partagez vos réflexions dans les commentaires !

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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2 commentaires sur « Trump annule les quotas de voitures électriques »

  1. Ah quand chez nous, je rêve surement, ici il y a trop d’intéret à poursuivre dans cette voie, nous priver de nos libertés !

  2. Les voitures électriques n’ont d’écologiques que le nom… En plis, elles sont plus chères que les voitures à moteur thermique. Une voiture électrique est composé d’éléments rares comme le cuivre et autres métaux qu’il faut arracher de la Terre avec des engins outils qui consomment des tonnes de gasoil chaque année… Il y a ensuite la transformation et surtout l’élaboration des batteries qui jusqu’à présent n’ont pas une capacité suffisante d’autonomie et surtout, une perte de puissance sur route par temps de grand froid hivernal. Il faut y ajouter le prix bien supérieur aux voitures thermiques, le prix d’une réparation éventuelle et le prix des recharges électriques, certes moins chères, mais nom d’un chien, il en faut des recharges pour rentabiliser un véhicule qu’on paye au minimum 25000€ et qui plus est, ces véhicules électriques sont discriminatoires, car dans les cités, les grands ensembles de vie, où le possesseur d’un véhicule électrique va-t-il brancher sa voiture pour une recharge, bornes déjà insuffisantes ! Autre chose, la perte de devises, la perte du savoir faire moteurs thermiques qui avaient gagné en production limité de CO2, la perte des usines de fabrication des moteurs diesel, etc… On sait qu’il existe moyen de produire des moteurs électriques auto alimentés, mais on ne veut pas les fabriquer !

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