Ah, la Loire-Atlantique… Ses marais, ses galettes et… ses réseaux pédocriminels ? Décidément, l’actualité a parfois un sens de l’ironie à faire pâlir un humoriste raté. Cette fois, la palme revient à Pierre-Alain Cottineau, militant LFI, fervent défenseur des droits LGBT et assistant familial (oui, oui, il gardait des enfants chez lui… déjà, ça aurait dû mettre la puce à l’oreille). (source : Le Point) Sauf que derrière son activisme bien-pensant se cachait, selon la justice, une activité nettement moins avouable : l’organisation d’un réseau pédocriminel sordide.
Un militant irréprochable… enfin presque
On nous l’avait vendu comme un homme de valeurs, un modèle d’engagement politique et social. Un Insoumis ? Oh que oui, il l’était : insoumis aux lois, à la morale et à toute forme d’éthique. Entre deux discours enflammés sur la nécessité de protéger les minorités, il semble qu’il se soit surtout appliqué à exploiter les plus vulnérables.
Des victimes de 5 mois à 4 ans… c’est vrai que c’est plus simple, ils ne parlent pas encore !
Les enquêteurs ont découvert l’horreur : des enfants en bas âge, à peine sortis du berceau, victimes d’abus inqualifiables. Cottineau ne faisait pas les choses à moitié. Pourquoi se contenter d’un scandale banal quand on peut directement concourir au prix du plus gros monstre de l’année ?
Une belle couverture médiatique : militantisme et faux-semblants
Comme quoi, être président d’une association de défense des droits LGBT et militant d’un parti prônant la justice sociale est un excellent camouflage. À force de pointer du doigt « l’extrême droite dangereuse », on en oublierait presque de balayer devant sa propre porte… surtout quand celle-ci donne accès à une crèche clandestine.
La justice en action : direction la case prison, sans passer par la manif’
Mis en examen pour viols et divers autres joyeusetés que seule une cellule froide et austère pourra compenser, Pierre-Alain Cottineau attend désormais son jugement. Un homme qui voulait tout changer en politique… mais qui va surtout changer d’adresse pour une résidence à longue durée dans un centre pénitentiaire.
Moralité : méfiez-vous des sauveurs, surtout quand ils s’occupent de vos enfants
Cette affaire prouve une fois de plus que les plus grands prédateurs ne sont pas toujours ceux que les médias désignent du doigt. Pendant que certains gesticulent en hurlant au fascisme imaginaire, d’autres, en toute discrétion, profitent de leur belle image publique pour commettre l’impensable.
Mais bon, heureusement que l’État est là pour nous protéger, non ? Ah non, c’est grâce à une enquête internationale que cette horreur a été démantelée… Quelle surprise.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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