Bienvenue en démocratie 3.0 : une République où dénoncer un mensonge d’État vous vaut une descente de flics, un interrogatoire surréaliste, et une ordonnance de soins psychiatriques.
Liberté, Égalité, Délation ? À l’ère Macron, même votre avis sur Thomas Jolly ou la coiffure de Brigitte peut être classé “menace à la sûreté de l’État”.
Un préfet qui scroll Twitter pour l’Élysée ?
Selon une émission de GPTV, il existerait un « cabinet noir », rien que ça, piloté par un préfet zélé, dont la mission serait… tenez-vous bien : traquer les vilains internautes qui osent critiquer le couple présidentiel.
Oui oui, Brigitte et Emmanuel seraient donc au-dessus de la satire, du débat public et même de l’ironie. Donald Trump, lui, s’en était amusé. En France ? C’est garde à vue, réquisitions musclées et convocation au tribunal.
Liberté d’expression : concept roumain ou souvenir napoléonien ?
Un avocat lance l’alerte : la France glisse doucement vers un modèle autoritaire où les simples opinions deviennent des délits. L’Union européenne ? Spectatrice enthousiaste.
Et pendant qu’on criminalise des tweets acides, les vraies victimes attendent deux ans avant la première audition. Mais pas de panique : pour Brigitte, c’est bouclé en six mois chrono. Justice à deux vitesses ? Non… à deux neurones.
Le cas Thomas Jolly : théâtre de l’absurde judiciaire
L’homme derrière les JO de Paris a eu droit à une pluie de critiques. Résultat ? Des poursuites contre de simples internautes. Heureusement que notre cher Donald n’a pas tweeté depuis Paris, sinon il aurait fini au dépôt pour avoir de qualifier de« honte » la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024.
Et que réclame le parquet ? 1 an ferme, amende, retrait des droits civiques (toujours chic), et cerise sur le gâteau : obligation de soins psychiatriques.
Parce que critiquer un metteur en scène provoc’ serait une menace pour la nation. Oui, on en est là.
Macron, Brigitte et la fabrique des menaces imaginaires
Et si vous abordez l’affaire Jean-Michel Trogneux ? Attention. Vous serez peut-être accusé de vouloir renverser la République.
C’est du vécu : interpellations, mises en garde à vue, et présentation devant un tribunal pour « atteinte à la sécurité de l’État ».
On vous sort de la case “liberté de la presse” pour vous coller direct dans “terroriste en pyjama”.
Les propos ne sont pas physiquement menaçants ? Pas grave. On interprétera.
En garde à vue : questionnaire façon Télé Loisirs
Mais le meilleur, c’est l’interrogatoire. Les policiers, sans trembler, posent des questions existentielles :
- « Que pensez-vous de la dissolution de l’Assemblée ? »
- « Vous abstenez-vous souvent ? »
- « Votre avis sur La République En Marche ? »
Non, ce n’est pas une chronique de Stéphane Guillon. C’est la République qui vous parle. Et si vous répondez “beaucoup de bien”, vous évitez peut-être l’internement.
Tribunal (presque) impartial, parquet (très) motivé
Soyons honnêtes : le juge, lui, a tenté de faire le boulot. Pas de zèle, parole donnée à la défense, volonté de comprendre.
Mais le parquet ? Une machine de guerre. L’objectif est clair : faire peur, dissuader, broyer les emmerdeurs.
Le fond ? On s’en fout. Il faut que ça claque dans les JT : « Menace contre le chef de l’État ». Même si, dans les faits, c’est juste un tweet de travers.
Conclusion : ne critiquez pas Brigitte. Changez de pays.
Voilà où on en est. Vous pouvez encore rire… mais discrètement, sans connexion internet, dans un bunker plombé.
La liberté d’expression n’est pas morte : elle est simplement assignée à résidence.
En France, désormais, le sarcasme peut vous coûter plus cher qu’un redressement fiscal.
🤔 Et vous, jusqu’où irez-vous pour protéger votre opinion ? Faut-il désormais s’auto-censurer pour échapper au juge ? Dites-le… tant qu’on peut encore commenter.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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Entretenir le doute comme ils le font est en soi l’atteinte à la sûreté de l’Etat! ✊🇫🇷🎗️