Quand les principaux protagonistes désertent leur propre procès, que la justice regarde ailleurs et que la Cour européenne des droits de l’homme s’en mêle, c’est que l’affaire Rey/Jégousse est devenue un chef-d’œuvre d’absurde à la française.
Le 14 et 15 mai 2025, Paris accueille une audience d’appel au goût amer, dans l’affaire aussi sulfureuse que confuse opposant Natacha Rey et Delphine Jégousse à Brigitte Macron – ou Jean-Michel Trogneux, selon les jours et les fantasmes. En jeu ? Une condamnation pour diffamation, des vidéos à rallonge, des identités floues, des cartes d’électeur comme preuves suprêmes, et une ambiance de procès truqué selon la défense. Et surtout : l’absence TOTALE des protagonistes centraux.
Oui, dans un procès à rebondissements planétaires, Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux, parties civiles, ne viendront pas. (source : France soir) Comme ça. Tranquillement.
Le théâtre de l’absurde judiciaire : une carte d’électeur en guise d’ADN
Souvenez-vous : en 2021, une vidéo de plus de 4 heures éclatait sur les internets. Natacha Rey et Delphine Jégousse y avançaient, entre autres, que Brigitte Macron ne serait autre que Jean-Michel Trogneux. Résultat : condamnation en première instance pour diffamation. Mais le seul “preuve” d’identité opposée ? Une carte d’électeur. Sérieusement. Dans une affaire d’État aux ramifications internationales, c’est donc ce petit rectangle cartonné qui fait foi. Autant demander un mot signé par maman.
Justice ou stand-up ?
Pas de Brigitte, pas de Jean-Michel, pas de confrontation. Juste une Cour d’appel visiblement frappée de timidité judiciaire, qui préfère ne pas activer les articles 515 à 520 du Code de procédure pénale. Ces textes donnent pourtant à la Cour tous les moyens d’exiger la comparution des parties ou d’ordonner des investigations complémentaires. Mais non. Mieux vaut laisser planer le doute, c’est tellement plus chic.
Et si la vérité devenait optionnelle, comme les bulletins secrets à la CEDH ?
Natacha Rey malade mais combattive, et un avocat qui n’a pas la langue dans sa rob
Pendant que Brigitte et Jean-Michel fuient les estrades, Natacha Rey, qui a demandé l’asile à la Russie, lutte contre la maladie et contre ce qu’elle considère comme une farce judiciaire. Son avocat, M Dangléhant – qu’on pourrait rebaptiser “le Zorro du Barreau” – multiplie les actions. Il accuse la justice française d’avoir condamné sa cliente sur la base de discours… qu’elle n’aurait jamais prononcés. Des textes inventés, selon lui, par des membres de la famille Auzière (tiens, tiens…).
Il réclame même que les débats se tiennent dans la salle Marie-Antoinette. Parce qu’autant y aller jusqu’au bout : on a la décapitation judiciaire, il ne manque plus que la perruque poudrée.
Et maintenant ? Direction Strasbourg… et les élections internes de la CEDH
Trop, c’est trop : Natacha Rey a saisi la Cour européenne des droits de l’homme pour dénoncer des violations massives des articles 3, 6, 10 et 13 de la Convention. Et elle ne fait pas les choses à moitié : elle a carrément demandé au président de la CEDH, Marko Bosnjak, le procès-verbal de son élection.
Bah oui. Quitte à douter des identités et des fonctions, autant s’assurer que Bosnjak a bien été élu proprement, et non coopté à la bougie avec un lancer de dés. Madame Rey exige aussi la liste d’émargement. Une demande rare, mais qui s’inscrit dans une logique limpide : quand tout est flou, la vérité se cache dans les bulletins secrets.
— françois danglehant (@FDanglehan56893) April 10, 2025
Un feuilleton suivi jusqu’aux États-Unis : quand Candace Owens s’en mêle
Pendant que la France baigne dans le mutisme, l’Amérique s’embrase : Candace Owens, Tucker Carlson, et même Joe Rogan se penchent sur cette affaire, y voyant l’incarnation parfaite du “French Deep State”. Le livre « Becoming Brigitte » devient un objet culte, et la France passe pour un pays qui cache des transidentités présidentielles à coups de cartes d’électeur.
Merci qui ? Merci la justice tricolore.
Le mot de la fin ? Un procès sans vérités, sans preuves, sans parties… mais avec une sacrée gueule d’absurde
Dans cette affaire entre rumeurs, procédures kafkaïennes et fantômes de la République, tout le monde semble fuir la confrontation : les accusées, les accusateurs, et même la justice. Et pendant ce temps, la rumeur enfle, les avocats s’agitent, les juges bottent en touche et l’Europe, elle, se fait réclamer ses bulletins secrets.
Brigitte ou Jean-Michel ? Nul ne sait. Mais ce qui est sûr, c’est que la République, elle, ne sort pas grandie de ce bal masqué judiciaire.
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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏
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