Sexualisation des enfants, euthanasie des vieux : lettre ouverte d’un lecteur au bord de l’implosion morale

Il s’appelle Brounahans, il est alsacien, sûrement boomer (et fier de l’être), et il vient de nous envoyer une lettre qu’on aurait pu croire dictée par un vieux prophète sous amphét’. Sauf que tout est terriblement lucide. Brut. Cru. Et foutrement drôle, dans le genre rire jaune.

Ce lecteur n’en peut plus. De la sexualisation précoce des enfants au brushing présidentiel, de l’euthanasie économique des vieux à l’hypocrisie woke sauce UERSS, il démonte la mécanique infernale d’une société en pleine implosion morale, avec une verve qu’on aurait tort de mépriser.

« Sodome et Gomorrhe sont ressorties de la naphtaline »

Dès les premières lignes, le ton est donné : “Aujourd’hui, l’enfant doit être baisable et sodomisable à volonté, avec la bénédiction de la société.” Voilà. Ce n’est pas un article du Monde, c’est une lettre d’alerte d’un homme qui regarde le monde se vautrer dans la complaisance molle et les lubies progressistes.

Ce qu’il dénonce :

  • la banalisation de la sexualité infantile au nom de l’“éducation sexuelle”,
  • la disparition programmée des vieux inutiles sous prétexte de dignité,
  • le deux poids deux mesures de la morale : “on protège les élites, on formate les gosses, et on élimine les pauvres”.

Brounahans, il ne passe pas par quatre chemins. Il crache son ras-le-bol à la tronçonneuse, et ça fait du bien.

« Si je ne pense pas comme eux, je suis donc nazi ? »

Notre lecteur moque, avec un humour grinçant, l’étiquette immédiate collée à toute critique du système : “Je suis d’extrême extrême droite, limite nazi, bloqué à la position du missionnaire, ignorant du kamasutra.” On rit, mais c’est amer.

Parce qu’au fond, il touche là à une réalité glaçante : toute personne qui ose remettre en question le progressisme aveugle se voit immédiatement ostracisée. Le débat n’existe plus. Il est remplacé par l’excommunication politique et médiatique.

« L’euthanasie ? Une faveur pour les vieux pas rentables »

Autre passage coup de poing : la fin de vie. Brounahans évoque les vieux “sortis de l’argus”, ces bouches à nourrir jugées inutiles. Il parle de soins palliatifs réservés aux riches, de l’euthanasie comme variable d’ajustement budgétaire, et d’un avenir “réincarné dans une génération mieux formée au consentement sexuel à 5 ans”.

Oui, c’est noir. Mais ce n’est pas faux.

Le complotisme ? Ou la lucidité d’un monde orwellien ?

Bien sûr, certains hausseront les sourcils en lisant les allusions à Bilderberg, Attali, ou “le trans de Macron”. Mais c’est là tout le génie involontaire de cette lettre : elle incarne ce moment de bascule où la lucidité devient automatiquement taxée de délire.

Et si ce que l’on appelle complotisme n’était parfois qu’un langage brut pour désigner des dérives trop énormes pour être dites poliment ?

« Merci Brounahans »

Madame-Raleuse tient à remercier ce lecteur. Parce qu’il nous offre plus qu’une lettre incendiaire. Il nous tend un miroir. Un miroir grossissant, mal poli, mal rasé, mais un miroir sincère, sans langue de bois ni Novlangue.

Alors oui, c’est trash. Mais quand les temps sont immondes, il faut bien des mots violents pour réveiller les âmes engourdies.

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Attention, ici, l’actualité est revisitée avec une touche d’ironie et de second degré. Ce contenu est purement humoristique et n’a pas vocation à refléter une vérité absolue. Prenez-le pour ce qu’il est : une invitation à rire et à réfléchir, rien de plus ! 😏

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